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Alec N. Alexanders
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 |  Sujet: Alec N. Volturi Mar 27 Oct - 16:30 | |
|  THAT'S WHO I AM | Nom
Volturi, le nom de mon père. C'est un homme influent dans mon pays dit natale qu'est l'Italie et il dit souvent que le porter est un véritable honneur. Oui peut-être ... Peut-être arriverais je à comprendre pourquoi un jour.
Prénom
Alec, le prénom donner par ma mère, d'origine grec. Elle a toujours été amoureuse de ce prénom et s'est battut pour que je puisse le porter. Nathaniel est le prénom donné par mon père, c'était celui de mon arrière arrière grand père, celui qui a battit la fortune familiale et ainsi mit notre famille au premier plan.
Age
21 ans
Sexe
I'm a man
Espèce
Humain |
Histoire:
C’était en juillet 1988 que ma mère me mit au monde à Rome, ville baignée par le soleil et rythmé par les touristes venus découvrir les antiquités du monde d‘antan. De cette époque vous vous en doutez, je ne garde que très peu de souvenirs. En réalité, jusqu’à l’âge de six ans, on ne se souvient que très peu de ce qu’on peut vivre ou connaître. Et je ne fais pas exception à la règle. Toujours est -il que je fus partagé entre deux parents se détestant. Ma garde étant confiée à mon père, je vivais dix mois de l’année en sa compagnie puis les deux mois d’été chez ma mère qui elle habitait à l’autre bout du monde, c’est-à-dire à New York. Une ville bien plus passionnante que la Rome antique qui m’avait vu grandir. Ainsi, je fus très tôt initié à la langue anglaise et l’italien étant ma langue paternelle, je parlais couramment les deux dialectes.
La vie à Rome n’était pas simple. Mon père étant une personne assez influente dans la région et surtout riche, ce n’était pas réellement une relation père fils qu’on entretenait. Il veillait à mon éducation, m’enfermant dans ce genre de règles strictes dont on se moque. J’étais vu comme le fils à papa riche qui ne connaissait rien à la vie. Ainsi, très jeune, j’eus déjà droit à mes premiers ennemis ou aux premiers coups. Évidemment au départ, je n’avais que ma fierté pour moi mais je fis la rencontre d’un jeune un peu plus grand, une racaille des rues qui me prit sous son aile quand j’eus huit ans. Je séchais l’école pour traîner avec lui et il m’apprenait à me servir de mes poings et ainsi à me défendre. Très rapidement et ce malgré mes vêtements de marques, je fus connus aussi pour être un tête dure et fut respecté des autres ce qui n’était pas un luxe quand on s’amusait à s’attarder dans les rues mal famées. Et c’est à douze ans que je pus admirer la première battle de danse dans un coin de rue qui était une sorte de quartier général de la bande que j’avais intégré. C’était de la danse que l’on appelait hip hop et je fus aussitôt attiré par ce genre de mouvements. A douze ans, je m’y mis et comme pour la baston, j’appris très rapidement et devint à l’âge de quinze ans le champion officiel de toutes les battle de la ville de Rome. La danse devint rapidement sur ce à quoi je concentrais ma vie et bien évidemment mon père finit par l’apprendre. Découvrir son fils unique parmi une bande de racailles comme il les appelait et en train de se donner en spectacle ne fut pas forcément la chose qu’il apprécia le plus. Bien au contraire. Je fus ramené pratiquement par la peau du cou jusqu’à son bureau dans lequel le sermon paternel se révéla mémorable bien que je n’en garde aucuns souvenirs. Ce fut à peine si j’écoutais car de toute façon seule sa réputation à lui l’intéressait. Je fus donc mis en garde ce qui ne m’empêcha pas de continuer à faire le mur tous les soirs pour rejoindre la bande et de danser toute la nuit en compagnie de filles, à boire alcool ou à tester de la drogue.
Ce fut une nuit d’octobre que je tombais sur elle. Elle s’appelait Magdaleina, une brune absolument magnifique aux yeux émeraude tout à fait prenant et hypnotique. Je ne fus pas long à tomber amoureux d’elle. Une erreur que je ne suis pas prêt de refaire. C’était une joueuse de poker et elle était un peu plus âgé, de cinq ans mon aînée. J’avais seize ans à l’époque et je me moquais d’une telle différence, j’étais sous son charme et totalement naïf. Elle fut la première avec laquelle je passais la nuit, et la dernière à me briser le cœur. En réalité et ce seulement grâce à un ami, elle ne sortait avec moi que connaissant la fortune inconsidérée de mon père. Je pris sur moi pour ne rien dire sur l’instant, me contentant de paraître totalement impassible à son charme qu’elle savait réel et je l’humiliais publiquement dans une partie de poker, en la rabaissant et dénonçant son côté manipulatrice avec beaucoup de calme. Je suis partit sans me retourner mais cette histoire m’avait au moins apporter quelque chose. L’amour était un sentiment qu’il fallait éviter. Pourquoi souffrir quand on pouvait connaître seulement le plaisir? Je n’étais pas maso, je ne tenais pas à revivre une pareille humiliation ni à me faire repriser le cœur par une femme. Si bien que je décidais de ne plus m’attacher à personne hormis mes amis proches comme mon ami d’enfance Kienan. Les femmes étaient toutes belles chacune à leurs façons, avaient toutes un petit quelques choses qui les rendait uniques. Pourquoi ne se contentait que d’une seule? L’amour n’était pas pour moi et puis j’étais jeune. Autant croquer la vie à pleine dent.
Cependant, je fus à nouveau pris sur le fait alors que j’étais monté sur scène pour faire une démonstration de hip hop par l’homme de confiance de mon paternel. C’était peu avant mes dix huit ans soit il n’y a pas bien longtemps. Et la conséquence fut telle que m’éloigner de Rome était pour lui capital. Il ne tenait pas à ce que ses amis proches et la société dans laquelle il évoluait sache que son fils était un danseur de rue voir un bagarreur.
Ce fut donc dans cette optique ci que je fus appelé un matin dans son bureau sans que je ne m’en doute au premier abord. M’asseyant avec cette nonchalance rebelle que j’arborais dès qu’il était dans les parages, je demeurais silencieux attendant que tombe le verdict ou la punition. Ce qui ne tarda pas.
-Puisque tu sembles décidé à ne pas m’obéir et à continuer tes frasques, je ne vois pas d’autres solutions. Je voulais tout d’abord t’envoyer dans une pension mais ta mère s’est proposée de te recueillir pendant le reste de tes études.
-De mes études?
-Je t’envois en médecine Alec. La danse est une chose qui ne t’apportera absolument rien et je refuse de voir mon héritier perdre ses talents dans ce genre de disciplines.
-Je ne veux pas être médecin.
-Tu n’as pas le choix. Tu pars demain soir et tu feras ce que je te dis une fois dans ta vie.
Inutile de discuter ou de casser les meubles. J’étais obligé de faire ce qu’il avait décidé pour moi aussi pénible fut-ce. Je partis sans un regret, hormis celui de laisser mon best derrière moi, mais internet était d’un grand secours dans ce genre de choses. Kienan était un peu le frère que je n’avais jamais eu et je savais que je pourrais compter sur lui en toutes circonstances.
New York. J’étais chez moi dans ce petit appartement en haut d’une gratte ciel. Ma mère était issue d’une famille moins aisée que celle de mon père mais avait assez pour vivre plus que confortablement. La retrouvant avec un plaisir non feint, je n’étais pas peu heureux de vivre avec elle désormais. Elle m’avait toujours soutenu dans ma passion et m’avait payé de nombreux cours de danse durant les mois d’été que j’avais passé avec elle. Elle était même venu me voir sur scène deux ou trois fois afin de voir elle-même ce que je pouvais donner. Malheureusement, elle ne pouvait rien face à mon père, pas plus que moi, et elle ne pus m’aider pour échapper à cette fac de médecine. Elle m’aida simplement à attendre mes vingt ans pour y entrer, autrement dit je gagnais deux ans d’années sabbatiques. L’excuse fut qu’elle voulait du temps avec moi et mon père qui devait être dans un de ses bons jours le lui avait accordé.
Pendant ces deux ans, je fus totalement libre. Je me fis de nouveaux amis et je pus continuer la danse sans que le paternel ne soit au courant. Habitué des boîtes de nuit, je retrouvais également un an plus tard mon meilleur ami venu lui aussi étudié aux Amériques. Kienan était un peu comme moi, il ne croyait pas à l’amour mais contrairement à mes propres principes, il se moquait de briser un cœur ou non. Malgré ce que j’étais, c’est-à-dire un Don Juan ou un charmeur, je gardais des principes et je ne manquais jamais de respect envers une femme. Je ne lui donnais jamais de faux espoirs, les prévenant sans cesse que mon cœur n’était pas à prendre et pour cause. Il était enfermé dans une muraille espèce, protégé de tous sentiments autres que le désir, le plaisir ou l’affection que je pouvais donner à mes amis ou à ma mère. Donner des fausses illusions n’étaient pas dans mes habitudes et je détestais voir la beauté florale d’un teint de lys faner devant la tristesse d’une relation qui ne s’éterniserait pas. Cependant, je savais ce que moi je valais et je savais surtout que je n’étais pas tout à fait comme elles le pensaient toutes. L’amour n’était tout simplement pas pour moi. Ce sentiment te rendait esclave d’une personne et je ne voyais dans ce genre de relations que la souffrance qu’elle pouvait apporter. Ainsi pourquoi s’immerger dans la tristesse d’une séparation de quelques heures, dans la jalousie, dans la dépendance quand on pouvait aimer toutes les femmes, rendre hommage à leurs beauté et leur donner du plaisir sans pour autant n’avoir à en subir les conséquences dramatiques d’un sentiment néfaste? Donc oui il était vrai que j’étais un charmeur et que je ne savais taire ce que je pensais dans l’instant. Ma franchise me poussait à dévoiler systématiquement les pensées m’effleurant et évidemment, quand on regarde une belle fille, on s’en fait la remarque. Une remarque qui franchissait la barrière de mes lèvres sans que je ne cherche à la retenir. Des compliments qu’il serait criminel de garder pour soi. Et puis pourquoi taire une vérité quand elle était si belle à dire ou à entendre? J’aimais les femmes…toutes différemment car elles avaient toutes quelque chose qui les rendaient unique, un petit plus qui différait de l’une à l’autre, un mouvement de tête, une façon particulière de rire ou tout simplement l’éclat d’un œil quand il reflétait le bonheur. J’étais trop fier pour risquer d’avoir le cœur brisé par une femme, c’était un destin que je me refusais. Je ne faisais que me protéger quelque part et j’essayais par là même de ne jamais brisé le cœur d’une femme. La gentillesse, le respect, et surtout la franchise était pour moi d’or avant qu’il ne se passe quelque chose. Je mettais les choses au clair dès le départ, je ne laissais jamais d’espoir mais le cœur féminin est fragile et on ne peut pas toujours éviter ce que j’appellerais volontiers le pire. Ensuite…j’étais ce que j’étais. J’avais tendance à plaire, j’avais une manière de parler qui les touchait et je charmais au naturel. Je ne nie rien. Je suis ainsi, franc, je dis ce que je pense sans prendre de gants. Je la trouve charmante? Elle le saura dans la seconde. Sexy? De même. Ce qui ne voulait pas forcément dire que je souhaitais la mettre dans mon lit. J’aimais la compagnie féminine, j’aimais discuter avec elles, j’aimais les entendre rire. En fait je ne parvenais pas à changer d’opinions par rapport à la suite de ma mésaventure avec Magdalena. Je gardais la même que celle qui m’avait effleuré l’esprit.
-Alec reste avec moi...
Les bras tendus vers moi, elle semblait si belle dans les pâles rayons du soleil. Ses cheveux blonds étaient dénoués sur l'oreiller, ses lèvres rouges de désir, sa bouche entrouverte alors que sa poitrine se soulevait rapidement, au rythme d'une respiration difficile à reprendre après la nuit que nous avions passé tous les deux. Je me penchais vers elle avant de presser mes lèvres contre les siennes.
-Je ne peux pas.
-Je t'en prie. Je sais que je ne te reverrais pas... Fais moi l'amour une dernière fois et ensuite disparais, je ferais comme si tu n'avais jamais existé.
Comment résister à un tel appel? Après tout, du moment qu'elle savait je ne perdais rien à lui faire plaisir et à me faire plaisir. Je me penchais et me fondis dans ses bras.
Kienan et moi avions donc plusieurs jeux dont celui de ne jamais tombé amoureux. A voir celui qui craquerait le premier mais je savais que je ne serais pas celui là. Aucune chance pour que je connaisse à nouveau ce sentiment. L’autre était celui de la liste la plus longue de conquêtes. De ce côté ci on se valait. Je n’étais jamais seul le soir et ne gardais jamais bien longtemps la même fille dans mon lit. Certainement pas plus d’une semaine. Et ma vie se résumait donc à ça… Alcool, sexe, drogue, danse et ainsi de suite pendant deux ans. Mais il fut aussitôt temps de prendre en compte l’université. Et de faire de la médecine. Je ne me destinais bien évidemment pas à ce métier et je ferais tout pour m’en échapper mais après tout, peut-être aurais je de bonnes surprises entre ces murs…
-Tu vas en médecine?
-Ordre du paternel pourquoi?
-Tu ne sais pas que toutes les plus belles filles enfilent des blouses blanches?
Je fus pris d’un bel éclat de rire en entendant cette affirmation de la part de Kien avant de secouer la tête.
-Non mais je crois que je le saurais bien assez tôt. Je pense draguer plus que recoudre de toute façon.
-On sera deux man, je vais avec toi. Mes parents sont convaincus que je ne peux faire carrière que là dedans ou être avocats.
-On va s’amuser je le sens.
Enfin un bon côté dans cette histoire de cours. On sera deux à regarder les femmes en espérant bien entendu qu’elles soient nombreuses. Quand à faire du hip hop parmi les patients pourquoi pas. Et se moquer des professeurs nous rappelleraient à tous deux de sacré souvenir.
Ce fut donc dans cette perspective que j’y entrais, passais les portes du hall et vitrée, allant sur le terrain sans savoir ce que me réservait l’avenir.
Dernière édition par Alec N. Volturi le Mar 27 Oct - 21:08, édité 7 fois |
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Alec N. Alexanders
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mar 27 Oct - 17:09 | |
|     | Mon caractère
Comment me décrire… Certainement étape par étape, ce serait plus simple pour me cerner un minimum mais mon jugement sera certainement altéré. On ne se définit jamais parfaitement soi même.
Le plus simple est de commencer par mon côté prédominant à savoir mon côté charmeur et Don Juan. C’est la première chose que l’on peut remarquer chez moi car je drague comme je respire par des sourires ou tout simplement par un regard intense. Ma manière de parler les fait frémir et en étant parfaitement conscient, je n’hésite pas à en jouer pour obtenir leurs faveurs. Cependant, je garde quelques principes même si je ne crois absolument pas en amour. Doté d’une franchise à toute épreuve, je ne sais dire que la vérité et surtout, connaissant mon impulsivité, je ne sais me retenir. Si je la trouve belle, je le lui dirais, sexy aussi et quoique je puisse en penser elle le saura. Certaines le prennent pour des phrases toutes faites, ce que tu dis à n’importe quoi. Kienan est un peu comme ça mais pas moi. Je ne me sers que de la vérité pour draguer et obtenir le sourire lumineux d’une femme. Je ne couche cependant pas avec n’importe qui. On ne peut éprouver du désir pour tout le monde et ainsi, il me faut quelque chose de plus qu’un beau minois et de long cils. Au départ, la soirée ne débute pas forcément au lit juste après une rencontre même jamais à moins que l’on ne soit totalement saoul ce qui peut arriver. Il faut qu’elle soit intéressante qu’elle ait une certaines conversations. Aucune femme ne m’a jamais intrigué mais intéressé c’est primordiale pour que je puisse avoir envie de passer la nuit avec elle. Je pense en avoir fait le tour, ensuite, vous en apprendrez certainement plus quand vous me connaîtrez.
Ensuite, j’ai un côté très fier et sûr de lui. J’ai confiance en moi et je ne doute pas de mes capacités. Je sais contrôler mes émotions, de peur de me faire envahir, et n’ait jamais eu de problèmes pour me détacher parfaitement des gens. Il est tellement plus simple de vivre un peu solitaire et loin que de souffrir d’un abandon ou d’une trahison. Très fier, je ne supporte pas l’échec, et je suis fonceur même si c’est une cause désespérée. Je peux foncer dans la gueule du loup simplement par fierté. Et que ce soit dans la danse, dans une battle ou encore pour conquérir une femme, je ne suis pas du genre à abandonner. Jamais.
Que dire de plus dans ma personnalité… Je suis dur et de glace. J’imagine que vous l’aviez deviné. Je n’ai pas forcément de conscience si je blesse quelque un qui pour moi l’a mérité, je ne vais pas m’en vouloir bien au contraire, j’aurais tendance à fêter la chose. Je suis rancunier parfois, oublie difficilement ce qu’on me fait et je pardonne très difficilement une trahison. A tendance méfiante, je ne fais pas confiance facilement . Et un côté positif que je peux dévoiler, je suis un ami fidèle à défaut de l’être en amour. Je n’abandonne pas mes proches et on sait qu’on peut compter sur moi quoiqu’il arrive. |
 | Mon physique
Me décrire physiquement sera certainement plus rapide. La chose apparaît un peu narcissique mais après tout allons y.
Mes cheveux châtains sont légèrement long et généralement à tendance décoiffé. Mon visage est éclairé par deux yeux bleus, couleur qui se rapproche de celle de l’océan en plein été, et mon visage est assez fin. Peau blanche, enfin je suis un mec comme beaucoup d’autres. Je dirais que mes principaux atouts sont ma coiffure, mon regard et mon sourire. Du moins d’après mes ex et dieu sait s’il y en a eu.
Le plus simple serait de parler du vestimentaire. J’ai un look que je garde décontracté en général. Jean tsariste et veste comme la plupart des jeunes de mon âge afin de faciliter mes mouvements s’il me prends l’envie de danser au milieu de la rue ou en boite. Je porte un peu de tout, même si les couleurs qui reviennent le plus sont le blanc et le noir ainsi que le bleu.
Mais avec une famille comme la mienne, je n’échappe pas aux genres de soirée un peu ennuyante qui nécessite les smoking, ce que je met assez souvent, misant sur le noir, le blanc ou encore le gris. Rien de bien original. Je dois avouer que je préfère porter ce genre de choses pour les quelques soirées chics donnés par des jeunes de mon âges dans les quartiers chic.
Sinon j’ai un faible pour les lunettes de soleil, j’en ai toujours sur moi et j’ai tendance à porter des bonnets ou des casquettes. |
 | Ce que j'aime dans la vie
Les femmes…. Rien de bien étonnant à ce que je réponde une telle chose, je suis certain que vous vous en doutiez. J’aime leur regards quand elles sont heureuses, j’aime leur façons de rires, de sourire lorsque leur humeur est à la séduction. Ou encore leur mouvement de tête quand elles acquiescent à une proposition, leur manière de bouger les mains ou de faire teinter leur bracelet sous la faible lumière d’une bougie. Il y a tellement de grâce et de sensualité chez une femme qu’il serait tout simplement impossible de tout dire. Leur grain de peau doux, la soie de leur lèvre, l’odeur si florale de leur épiderme. Comment leur résister? De paire avec elle, j’aime le sexe. Bien évidemment. Les nuits chaudes et torrides. J’ai me fondre dans leurs corps moites, me noyer dans leurs prunelles noyés de désir, me perdre entre leurs lèvres soyeuses, m’imprégner du goût et de l’odeur de leur peau.
Les soirées arrosées. Rien de mieux que de se retrouver entre potes pour passer une soirée mémorable. Alcool et drogue, on a tendance à tout essayer bien qu’on sait qu’il ne faut pas abuser comme on dit des bonnes choses. Enfin…tout dépend de la chose en question, il y a des exceptions à tout.
Je suis un danseur et je vis pour la musique. Je ne résiste pas à une chanson porté, je suis de ceux dont le corps agit avant que le cerveau ne réagisse. Les bras qui se mouvement, le bassin qui ondule, le torse qui s’arc boute, les jambes qui fléchissent. Tu tournes sur toi-même et tu te laisses porté par la chanson de la première à la dernière note. Sur scène tu te détends et tu oublies le reste, tu fais ce pourquoi tu es née, ce à quoi tu sais que tu vas concentrer ton existence. Encore et encore, tu laisses la musiques pénétrer tes veines, tu la sens prendre possession de chaque muscles. Le sang bouillonne, tu chauffes et tu deviens enfin toi. C’est-ce que certain ressentent en étant amoureux, moi je n’ai que la danse.
Ensuite, j’aime des notions. La liberté, gagner, et être avec mes amis. Comme n’importe quel jeune. Les rires, les paris et la moto. Rouler rapidement sur un route bétonnée, avec pour tout compagnons ton casque et ta paire de gants. |
 | Ce que je n'aime pas dans la vie
On ne peut pas se vanter de tout aimer, et comme tous les êtres humains, il y a des choses que je n’aime pas. Comme une certaine espèce d’hommes qui ne porte aucun respect pour la femme. Ceux qui les forcent ou ceux qui osent porter la main sur elles. Je sais que jamais je ne pourrais lever la main sur une femme. Ce serait d’une bassesse incroyable et totalement insurmontable. Je ne supporte pas de le voir faire. C’est une chose que j’exècre. Il en va de même pour la méchanceté gratuite ou le manque d’honneur, la lâcheté ou encore l’hypocrisie.
Ensuite……je n’aime pas la contrainte. Etre forcé de faire quelque chose à laquelle je n’ai aucune envie de prêté attention. Comme à cette stupide idée d’intégrer une fac de médecine, ou encore de suivre des directives qui me sont ennuyeuses comme participer à des galas pour l’image de mon père par exemple. Je n’aime pas les apparences, je n’aime pas les dorures cachant la moisissures des murs. Tout ceci rejoint une même idée. Le faux ne m’intéresse pas.
Et au risque de paraître dur, j’ai beaucoup de mal avec les filles qui n’ont rien à dire. A part parler de la dernière toilette de leur chien bien évidemment. J’ai beaucoup de mal avec ce genre de femmes typé sans cervelle.
J’ai également beaucoup de mal avec la trahison. C’est la seule chose que je n’arriverais jamais à pardonner de la part d’un ami. Car évidemment l’amour je ne risque pas de le connaître un jour…
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Alice Brandon.cAdmin
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 0:48 | |
| Hm ... un homme coureur de jupons parmi nous????? en tout cas, chouette présentation, j'en reste sans voix !!!!!!! J'espère me retrouver dans la même classe que toi, j'aimerais bien en savoir un peu plus de toi |
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Alec N. Alexanders
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 1:24 | |
| On peut me définir comme ça...bien que je garde plusieurs facettes Je te remercie j'étais...inspiré et certaniement par l'administratrice Je serais à ta disposition  |
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Alice Brandon.cAdmin
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 1:44 | |
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Alec N. Alexanders
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 1:50 | |
| Tu ne sais pas que les femmes sont muses pour ceux qui les regarde? |
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Alice Brandon.cAdmin
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 2:06 | |
| pas toutes les femmes, si je te présente ma grand mère je doute que tu dises ça mdrrrr |
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Alec N. Alexanders
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 2:07 | |
| Quand tu regarde une vielle femme, c'est dans son regard qu'on voit les beauté des siècles passés |
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Alice Brandon.cAdmin
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 2:16 | |
| hm tu as réponse à tout on dirait... |
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Alec N. Alexanders
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 2:24 | |
| Ce n'est dû qu'à ma muse |
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 2:29 | |
| je ne suis pas ta muse  |
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Alec N. Alexanders
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 2:32 | |
| Tu sais..la muse, il n'y a que l'artiste pour en juger Personne ne décide de qui peut inspirer la beauté d'un mot |
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Alice Brandon.cAdmin
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 2:45 | |
| monsieur se prend pour un artiste maintenant?????????????  |
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Alec N. Alexanders
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 2:47 | |
| Je ne me prends pas, je suis |
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Alice Brandon.cAdmin
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 2:56 | |
| ça va les chevilles??????????????  |
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Alec N. Alexanders
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi Mer 28 Oct - 2:57 | |
| Etre un artiste ne veut pas forcément dire que tu es brillant mais que tu en fais ta vie |
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| | Sujet: Re: Alec N. Volturi | |
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