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 What's does it means?

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Alice Brandon.c
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What's does it means? Vide
MessageSujet: What's does it means?   What's does it means? EmptyJeu 4 Mar - 22:16

What's does it means? Chacecrawfordv What's does it means? Ddfd85da8b6daf4097d3772eb9374b22


    15h30 Assise dans mon fauteuil, les mains sur les accoudoirs, je regardais pensive le dossier sur lequel je travaillais depuis deux jours déjà. La personne choisi pour le une de se numéro n’avait pas était de tout repos. Exigeante, extravagante, et pipelette, elle m’avait rendu dingue au bout de la première heure passé chez Channel. Même la responsable de cette grande marque de la mode n’en pouvait plus, ne cessant de me regarder exaspérée par cette femme, ou plutôt cet énergumène. Mais comme le disait si bien la directrice «il faut de tout pour faire un monde ». La bonne blague… Bref ce dossier ne m’inspirait pas et plus les minutes passés et plus je n’arrivais pas à le boucler.
    LA tête levé vers l’horloge, je priais de toutes mes forces pour que l’heure s’arrête.

    - Arrêtes toi, arrêtes toi...

    Fixant l’aiguille, qui ne cessait de bouger, je me redressais sur mon siège.

    - Allez….

    Et bien évidement ça ne marcha pas. Les minutes défilèrent et 17h aller bientôt sonner. Désespérée je me jettai sur mon téléphone pour appeler Jessica, ma meilleure amie qui travaillait dans le bureau en face de moi.

    - Ton test de psycho est nul, ça ne marche pas et je n’arrive pas à boucler ce dossier.

    L’écoutant me répondre, je feuilletais les feuilles à la recherche des clichés de la jeune femme pour pouvoir mettre en page mon article. Coinçant le téléphone sur mon épaule, je continuais ma conversation avec mon amie, tout en souriant amusée par ce fameux test sur le temps qu’elle me racontait. Je levais les yeux au ciel, pouffais de rire, léchant mon doigt de temps en temps en retournant les feuilles jusqu’à tomber enfin sur ses photos. Sans faire attention, je les pris et les déposai devant moi, alignant ainsi les neuf images devant mes yeux. Il fallait que je choisisse trois clichés dont deux qui ferait la page centrale du magazine et je trouvais ça amusant. Car c’était à moi de juger lesquelles seraient les plus belle et si je voulais faire la peste, pour cette femme sans intérêt j’aurais pou choisir les plus moche. Mais se serait cruelle et je ne l’étais pas, bien que des fois ça ne me dérangerait pas de l’être…

    Observant les photos à moitié, j’en pris une au hasard et la critiqua à mon amie sans retenue. Passant de la coiffure, aux jambes trop courtes sans lésiner sur mes mots. Cette femme m’avait vraiment pris pour sa domestique durant toute la journée de shopping et je l’avais en travers la gorge, alors histoire de me défouler, je ne mâchais pas mes mots. Ensuite je pris une seconde photo repartant de plus belle dans mes critiques, pleurant presque de rire jusqu’à tomber sur une image qui me cloua sur place. La main à la bouche je n’en revenais pas.

    - Je te laisse, j’ai une urgence.

    Raccrochant le téléphone au vol, je me levais subitement la photo à la main, faisant voler les feuilles qui s’éparpillèrent sur mon bureau. Je fis le tour de mon bureau et jettais un homme au planning accroché prêt de ma porte.

    - Alec….. c’était donc toi le photographe pour cette séance, et bien tu vas savoir comment je m’appelle !!!!!!!!!!!!!!

    Me parlant à moi-même, j’ouvris la porte d’un coup pour sortir de mon bureau. La flemme de travailler m’avait soudainement abandonné pour laisser place à la furie. Pourquoi ? Et bien, je vais l’apprendre dans quelques minutes.
    Traversant le couloir, d’un pas déterminé, je ne prêtais aucune attention aux différentes personnes que je rencontrais. Arrivant enfin au studio de photo, j’ouvris la porte avec fracas.

    - Alec !!!! Ou est Alec ??

    Au départ je crus que je parlais dans le vide, car je ne détectais aucune présence. Refermant la porte derrière moi, je pénétrais dans la pièce, aux deux bureaux vide. Inspectant les lieux, je vis de la lumière dans le fond, prêt de la porte qui donnait sur la grande salle de travail, là ou ce déroulait les séances photos. D’un pas décidé, je m’y rendais, et puis tant pis s’il était en train de travailler. Poussant la porte, je fus surprise de voir que la salle était vide. Je levais un sourcil tout en avançant vers le coin maquillage. J’étais bien toute seule pourtant j’aurais juré qu’il y avait quelqu’un.

    - Houhou y’a quelqu’un ?? J’ai besoin de parler à Alec de toute urgence !!!!!

    Je fis demi tour et repartis vers l’entrée de la salle. Que pouvais bien faire pour le voir, je n’allais quand même pas laisser la photo sur son bureau avec un mot quand même. Surtout cette photo ! Réfléchissant, je revenais vers les bureaux. Son collègue n’était pas là aujourd’hui en raison d’une importante réunion au siège de Los Angeles, donc Alec devait forcément être là et vu l’heure c’était tout simplement impossible qu’il soit déjà parti. Alors je décidais donc de l’attendre. Et puis tant pis pour mon dossier, je le remporterais chez moi pour le terminer à temps pour demain matin huit heure. J’avançais vers son bureau et me mise assise contre. La photo posait contre le meuble et la main par-dessus je contemplais diverses affiches scotchées sur les murs. Il n’y avait vraiment rien à dire, ils étaient tout deux très doué. Les minutes s’écoulèrent et comme depuis le début de la journée elles étaient longue. Regardant ma montre, je me redressais pour repartir car la journée touchait à sa fin et je n’allais pas attendre ici. Je me remise droite, et tira sur ma robe pour la remettre correctement et au même moment où j’allais prendre la poignée de la porte celle-ci s’ouvrit. Je sursautais légèrement face à l’effet de surprise et reculais d’un pas. C’était lui qui venait de faire son apparition et je ne m’y attendais plus du tout à le voir. Cachant la photo derrière mon dos, je me contentais de lui sourire tout en le mangeant des yeux discrètement. Si je devais élire le plus bel homme de la boite, ce serait lui sans hésitation tellement sa beauté me clouait sur place. Il avait quelque chose que les autres hommes n’avaient pas, un petit truc qui faisait que lui était différent mais bon à mon avis, il devait être déjà pris, comme le plupart des mecs bien dans ce monde. Bref, me reprenant je lui adressais un sourire avant de glisser une mèche derrière mon oreille.

    - Je t’attendais…

    M’approchant de lui sans le quitter des yeux, je ressentis de nouveau un léger excès de colère me submerger comme lorsque j’avais vi l’image parmi le shoot de mon témoins. Serrant la photo entre mes mains je venais la plaquais fortement sur son torse.

    - Tu m’expliques ???

    Spoiler:

    Et j’attendais son explication avec impatience car cette photo était loin de ressembler à ceux qu’elle aurait du être. Et sur l’image, ce n’était pas madame l’excentrique dessus dans une des robes qu’on lui avait acheté mais moi, en train de discuter avec la responsable du magasin dans lequel nous avions choisis les vêtements du shooting.
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Alec N. Alexanders
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MessageSujet: Re: What's does it means?   What's does it means? EmptyVen 5 Mar - 15:28

    -Encore une.

    Portant l’appareil à mon visage, j’appuyais sur le bouton afin de prendre le cliché qui serait certainement le plus réussit de mon shoot, sur une jeune brune aux yeux bleus au corps parfait. Il n’y avait rien à dire sur ses courbes et son port altier, et nul besoin d’être un bon photographe pour avoir de bon clichés. Hochant la tête tout en me relevant, je pris la direction de la tente avant d’examiner les clichés sur le mini écran derrière mon appareil de professionnel, hochant la tête devant la profondeur que cette fille dégageait. Il y a quelques semaines, j’aurais sans doute put dire qu’elle était e meilleur mannequin possible pour n’importe quelle marque. Mais j’avais légèrement changé d’avis depuis. En effet, il y avait une femme qui pouvait rendre les clichés encore plus beau que celui-ci. Pensif, je rangeais mon matériel avant de partir en direction de ma voiture, laissant mon équipement sur la banquette arrière avant de passer devant, de glisser derrière mon volant et de rouler sur la nationale pour regagner les bureaux. Le paysage urbain défilait sous mes yeux tandis que je conduisais impulsivement, avançant rapidement sur la route bétonnée quand je vis soudainement quelque chose devant laquelle je pilais net. Me garant avec clase bien que pressé, je sortis mon appareil photo rapidement avant de faire face à la jeune adolescente de 19 ans, à laquelle je demandais l’autorisation de faire quelques clichés devant la fontaine sur laquelle elle s’amusait à faire des figures de gymnastes. C’était un sujet qui m’inspirait et je dus prendre une bonne demi heure à la prendre sous toutes les coutures, à lui faire faire des arabesques et des pirouettes. Je la remerciais d’un sourire, m’adossant à ma voiture en lui montrant quelques photos, avant de sentir un regard sur moi. Relevant la tête, je croisais les yeux de Kate et je ne ressentis pas grand-chose. Ce qui n’avait pas l’air d’être son cas visiblement puisqu’elle ne me quittait pas des yeux. Sans plus m’attarder sur elle, je fis le tour de ma voiture avant de monter sur mon siège.

    -Alec attends !

    Démarrant la voiture, je faillis partir avant de la voir sous mon capot. Serrant les dents, je stoppais net avant de la suivre des yeux tandis qu’elle s’approchais de la vitre pour me parler. Je n’avais aucune envie de parler d’elle, surtout après la trahison occasionnée. Je me souvenais encore de ce jour, où rentrant dans mon appartement, je l’avais trouvé au lit avec un autre homme, habillée ou non. Depuis, je restais loin d’elle, et je ne tenais plus à en entendre parler. Je la laissais parler tenter de m’expliquer un fait auquel je ne croyais pas ou ne voulais pas croire sans doute. Je ne savais pas ce qui me poussait à ne pas l’écouter alors ou plutôt si. Deux yeux vert émeraudes. Sans doute. Ou non. Je ne voulais pas savoir.

    -Au revoir Kate.

    Démarrant en trombe, je n’écoutais pas ses protestations, roulant rapidement jusqu’au bureau. Je n’avais qu’une envie, développer mes photos et m’enfoncer dans le travail tranquillement. Et puis, je devais également développer d’autres clichés pris en traître du shoot d’hier. Pensif, je me demandais d’ailleurs pourquoi j’avais pu en venir à changer de sujets. Non en fait la réponse était simple et plus qu’évidente. Le modèle originale était réellement d’un manque d’inspiration affligeant. Aucune dégaine, aucune classe naturelle, seulement de l’orgueil à forte dose sans oublier l’impression qu’elle était au dessus de tout. C’était la première fois que me faire draguer par une femme me révulsait. La journaliste n’était pas sans cesse avec moi et lorsque je prenais des photos seuls avec cette femme, elle avait pris des poses plus que provocantes. Sur n’importe quelle autre femme, ou du moins une belle majorité, j’aurais pu trouvé ça charmant voir apprécier le spectacle plus ou moins. Mais entre les poses et les remarques aguicheuses, il m’avait fallut un sacré self contrôle pour ne pas la renvoyer sans discuter ce qui n’était malheureusement pas mon job. J’avais dû supporter froidement ses invitations à dîner, puis ses invitations chez elle, jusqu’à ce qu’elle déplore qu’elle n’ait jamais connu un réel plaisir avec les hommes et qu’elle me demande de lui faire l’amour sur place. Bien évidemment, ma réponse ne lui avait pas plut et elle s’en était allée dégoûtée, sans plus vouloir accepter de poser. Et les clichés que j’avais était d’une médiocrité dépassant tout entendement. J’avais dû en prendre lors de sa sortie avec son coach,et ses regards fusillant et meurtriers m’avaient lassé. Si bien que j’avais changé de modèle. J’étais passé à la belle brune qui était avec elle quoique ce mot était bien faible. Je l’avais déjà remarqué, dans les couloirs ou près de la machine à café, et c’était sans doute une des femmes les plus séduisantes qu’il m’ait été donné de raconter. Et d’une, elle avait toujours un sourire dessiné sur sa bouche pleine, ses mèches brunes auréolant son visage qui ne semblait connaître aucunes tristesses exceptés quand elle faisait une tête qui dénotait le fait qu’elle puisse faire la gueule à quelque un mais de manière infantile et attirante. Elle m’avait attiré de suite,ce qui m’avait également fait prendre conscience que mon couple ne tenait plus vraiment. Kate était pourtant une belle femme et puis, je l’avais aimé. Mais au fil du temps, la flamme s’était éteinte et il y a eu besoin d’un temps d’acceptation après plusieurs années. Je l’avais eu rapidement mais Kate ne l’avait toujours, visiblement, pas accepté. Mais ce n’était plus vraiment mon problème, je n’étais pas mécontent de mon célibat, pas plus que d’habiter seul. La seule chose qui me manquait était sans doute le manque de sport de chambre, manque que je comblais par quelques conquêtes de temps en temps.

    Pénétrant dans l’immeuble abritant les locaux du magazine et par la même mes locaux, je tombais sur une collègue, qui semblait inquiète. Au départ, je n’y fis guère attention car, même si je l’appréciais, car j’étais bien plus dans mon optique de développer mes photos mais elle m’arrêta et je fus bien obligé de me retourner pour lui faire face et pour apprendre qu’une journaliste furieuse me courrait après depuis quelques heures. Levant un sourcil intrigué, je repris les chemins du locaux, tout en cherchant qui pouvait bien me chercher. Personne ne s’était jamais plaint de mon travail et savoir que j’avais attiré la fureur d’un collègue me laissait perplexe. Surtout que je travaillais un peu pour tous le monde et ce depuis mon intégration dans la boîte, il m’était donc difficile de connaître l’identité du mécontent en question. Poussant la porte de la chambre noire, je ne trouvais cependant personne en train de m’attendre contre le meuble. Pourtant souvent, on venait nous trouver ici sachant qu’on était rarement dans nos bureaux. Un coup d’œil à ma montre m’indiquant l’heure tout compte fait tardive, je compris qu’elle n’avait pas eu la patience de m’attendre et qu’ainsi, je ne saurais le fond de cette histoire que demain. Et comme j’allais sans doute passer la nuit dans la chambre noire, je le verrais à la première heure demain. Posant mes affaires contre la table,je sortis mon appareil photo avant de retirer mon pull, restant en haut afin de pouvoir travailler tranquillement. Cependant, au bout d’une heure, je compris à la faim qui me tenaillait que je devais quand même manger quelque chose, ce que je n’avais pas pris le temps de faire depuis ce matin 9h alors que j’étais partit en catastrophe pour mon shooting. Sortant de la pièce, je déboulais dans le bureau pour prendre dans un placard ce qu’on avait mis de provisions avec un collègue et ami, quand je tombais nez à nez avec la belle brune journaliste dont le nom m’échappait. Je ne la connaissais que de vue, car entre les différentes sections, on ne se parlait guère. A fixant, je compris qu’elle était celle supposée furieuse contre moi à sa façon de me dire qu’elle m’attendait. Si bien que je souris légèrement avant de lui répondre.

    -Bonjour également.

    Elle s’approcha avant de claquer sa main contre mon torse, tenant une photographie, celle qui devait lui poser problème. Pensif, je pris sa main lentement, avant de glisser mon pouce sur sa paume, appréciant la chaleur et frémissant légèrement au contact de sa peau, refoulant cependant le désir qui me tenaillait soudain, pour dégager la photographie. L’observant je compris que j’avais fait une erreur dans le dossier, lui donnant la photo qui n’aurait pas dû être vue. L’examinant quelques secondes je ne pus qu’étudier la perfection d’un tel cliché. Puis le soulevant avant de coller in intentionnellement mon épaule à la tienne, je mis la photo face à nous.

    -Tu la trouves mauvaise?

    Je souris amusé et légèrement moqueur, la prenant de cours mais j’avais envie de voir où la colère pouvait la mener. Elle semblait être dotée d’une sacrée personnalité et je n’étais pas contre voir de quoi elle pouvait être capable.

    -Je te trouve pourtant parfaite. Je ne vois pas en quoi le cliché ne te plaît pas.
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