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 I don't know who you are but I want to know [Alice]

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Alec N. Alexanders
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MessageSujet: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptyVen 30 Oct - 20:51



    I don't know who you are but I want to know [Alice] 3& I don't know who you are but I want to know [Alice] Iconch10

    Alice & Alec




    Alec- Tu plaisantes?
    Kienan- Non on a changé d’heure Alec.
    Alec- Autrement dit je suis en retard
    Kienan- Si on admet le fait que ton stage commence dans quarante minutes et que tu n’habites pas à côté de la fac, oui tu es vraiment en retard.
    Alec- Tu es partit toi?
    Kienan- Non on est pas ensemble, c’est en binôme. Je suis avec une jeune fille du nom d’Alessandra je crois. Tu imagines…suturer à côté d’une femme sexy?
    Alec- Très bien.. Je ne savais pas qu’on était en binôme… Donc je suis avec un ou une inconnue. Il ne manquerait plus que je ne le ou la supporte pas. Je risque de m’ennuyer.
    Kienan- Essais de voir le bon côté des choses. Tu seras peut-être avec une fille super sexy.
    Alec- Ou peut-être avec un mec complètement abrutit.
    Kienan- Tu es définitivement un cas désespéré
    Alec- Je ne te le fais pas dire vu l’heure. Je te vois plus tard.
    Kienan- Oui a + man.


    Je raccrochais avant de jeter mon portable sur mon lit et de me lever rapidement. J’avais totalement oublié qu’on avait changé d’heure depuis dimanche dernier, et je commençais mal l’université surtout si j’étais en retard. Je filais dans la salle de bain afin de prendre une douche plus vite que je ne l’avais encore jamais fait. Attrapant un jean au hasard, je l’enfilais ainsi qu’un t-shirt blanc puis pour finir une veste chaude. Je savais que de toute façon, j’allais finir dans cet espèce d’uniforme que je qualifierais volontiers de pyjama médical. Attrapant mon casque et mes clefs, je sortis de la pièce avant de faire un tour dans la cuisine. Ma mère était déjà partie, son boulot l’appelait tôt le matin. Attrapant un toast, je pris la porte avant de descendre quatre à quatre les marches de l’immeuble. J’aurais sans doute mieux fait de prendre l’ascenseur mais en prenant en compte le fait que je venais de tomber du lit, un peu de sport n’allait pas me faire de mal avant de prendre la moto. Descendant au parking, je repérais bien rapidement l’objet de mon envie. Montant sur le siège, j’introduisis les clefs dans le contact avant de démarrer le moteur. Puis après avoir mis mon casque et baissé la lisière d’un geste bref, je démarrais en trombe, filant sur le goudron puis dans la rue. Il me restait une dizaine de minutes pour gagner les bâtiments qu’heureusement je connaissais, et je n’étais pas rendu en vue de l’embouteillage dans les avenues. Râlant en silence, je pris une autre direction, passant dans les rues que d’ordinaire il fallait éviter car terrain de gang et autre mauvaises graines New Yorkaise comme beaucoup aimaient à les appeler. Mais je n’étais pas de ceux là. J’avais toujours été considéré par les gens qui ne connaissaient pas mon nom de famille comme étant une racaille de Rome. J’étais de ces mauvaises graines traînant dans les rues qu’il fallait absolument éviter. Ainsi, rouler dans ce genre de lieux ne me faisaient pas peur loin de là. En étant franc, il n’y avait pas grand-chose qui m’effrayait, ma fierté m’en empêchait. Je me félicitais de toujours affronter mes problèmes, de les assumer et de les régler. Quoique ma volonté de ne pas tomber amoureux pouvait passer comme une marque de peur mais ce n’était pas tout à fait ça. Non c’était un désir de vivre ma vie sans avoir de problèmes ni d’ennuis, ni de cœur brisés. Oui ne pas vouloir souffrir était une marque de bon sens et non de lâcheté. Il était rassurant de savoir que je n’étais pas maso n’est-ce pas?

    Je sentais le vent souffler avec force contre mon blouson alors que j’augmentais ma vitesse pour finalement m’arrêter devant l’hôpital. Retirant mon casque, je coinçais la moto avant de l’attacher et d’enfiler mes lunettes de soleil. Regardant le bâtiment, j’observais la couleur blanchâtre des murs à travers mes verres colorés, ou encore les allers et venues des médecins et patients par la porte principale.

    -Mais qu’est-ce que je fais là…

    Ce n’était pas mon monde. Ce n’était pas mon rêve. Ce n’était pas ma vie. Mais je n’avais pas le choix, ni la chance de dire non à ce genre de blouse à mettre. J’en avais voulut à mon père de régenter une fois de plus ma vie mais je pense n’avoir jamais nourrit une rancune aussi grande qu’à cet instant précis. Je détestais l’idée d’avoir à passer cette porte, malgré tous les plans que j’avais eu avec Kien. Je ne m’imaginais pas la passer. C’est alors que j’entendis un rire un peu plus loin, un rire cristallin qui je devais l’admettre était un son plus qu’agréable. Tournant légèrement la tête, j’aperçus deux jeunes filles marchant l’une et l’autre vers l’hôpital. Toutes deux brunes, je remarquais surtout la seconde dont les cheveux étaient plus court. Elle avait un visage fins, le visage éclairé par deux yeux marrons et un sourire comme je n’en avais jamais vu. Il était clair qu’elle était de le genre de filles à être joyeuse au continuel. En la voyant passé les portes, je revins sur mes positions. Ce n’était certes pas mon monde mais après tout… le jeu en valait peut-être la chandelle.

    Glissant mon bras dans mon casque, je passais à mon tour les portes vitrées pour pénétrer un grand hall qui me faisait davantage penser à un hall d’aéroport plutôt qu’un hall d’hôpital. Très étrange et surtout bien trop classe. C’était une clinique privée? Aurais je pu oublié ce genre de détails? Je tournais la tête de tous côtés afin de repérer l’accueil et finit par le découvrir un peu plus loin. C’était une femme à laquelle je donnerais la trentaine, à la chevelure châtain et aux yeux vert émeraude, qui s‘occuper de recevoir. Une belle femme en somme qui était en train de houspiller violemment la personne en face d’elle. Je n’entendis pas un mot de la conversation et ne sut ce qui pouvait la mettre dans cet état mais le sourire remplaça bien vite la grimace renfrogné quand elle me vit. Une parfaite hôtesse robotique qui savait recevoir les clients. Levant un sourcil légèrement, je m’approchais avant de lui donner mon nom et la raison de ma visite. Elle m’indiqua avec une gentillesse que je ne pus m’empêcher de trouver fausser, ce qui gâcher son physique avantageux, les vestiaires qui nous étais réservé et je m’y rendis avec le visage impassible et surtout l’amère image de cette blouse que j’allais devoir porter à contre cœur. Je n’avais toujours pas revu cette jeune fille qui m’avait poussé à entrer et je commençais à maudire mon amour pour la beauté féminine. Retirant ma veste, je la suspendis dans un casier portant mon nom et je repérais celui de Kien. Apparemment, c’était les vestiaires des élèves. Déposant mon casque ainsi que ms gants rembourrés, j’enlevais mes basket avant de mes passer l’ensemble bleu clair. Puis enfilant à nouveau mes chaussures, je rangeais mes vêtements avant de boucler le casier. Bienvenu en enfer. La porte s’ouvrit à ce moment là sur une jeune fille…qui n’était autre que celle vue à l’extérieur et bien entendu celle qui m’avait tapé dans l’œil. Bien évidemment, je ne savais pas comment elle était, peut-être était ce une de ces filles…divinement belle mais complètement stupide, ou alors avec ce grain de folie qui achevait de m’intriguer et de me pousser à les draguer réellement. Je l’observais sans réellement me cacher, mais sans insister de façon à ne pas la mettre mal à l’aise non plus. Elle était vraiment belle mais il n’y avait pas que le physique. A moi de la découvrir.

    Fermant mon casier, je glissais mes lunettes dans mon col laissant entrevoir mon haut blanc que je n’avais pas retiré avant de me tourner vers elle et de lui tendre la main.

    -Alec Volturi. Tu es une élève stagiaire, je me trompe?

    Je plongeais dans son regard avant de sourire,de ce sourire de la manière qui poussait les filles à me qualifier de charmeur. Cependant, ce n’était pas calculé de ma part, c’était mon sourire au naturel, et je dois bien dire que le charme était ma manière de parler à une fille au naturel. Je charmais comme je respirais mais ça ne voulait pas forcément dire quelque chose. Quoique dans le cas de cette jeune fille, peut-être.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptySam 31 Oct - 14:15

Premier jour de stage et premier jour de stresse intense.
Non seulement j’ignorais complétement dans quel service on allait m’envoyer
mais en plus je ne connaissais rien de mon collègue. Tout ce que je savais,
c’était que nous serions deux étudiants et qu’il faudrait se supporter pendant
trois semaines.

- Trois semaines soufflais-je en enfilant mon pull
par-dessus ma tête. Trois longues semaines sans toi. Tu vas tenir le
coup ?


Mes yeux se dirigèrent vers mon petit ami qui me dévorait du
regard, étendus sur le canapé de sa chambre d’étudiant.

- Je te rejoindrais entre mes heures de cours
quand mon père sera en chirurgie, et à nous le bureau…


Un grand sourire espiègle traversa mon visage, et tout en me
dirigeant vers lui, je ne pus m’empêcher d’imaginer la scène. Lui, moi, tout
deux allongé sur le bureau, le tout bercé par la lumière intense du jour provoqué
par les murs vitrés donnant sur la ville. Je me penchais vers lui pour
l’embrasser rapidement avant de reprendre ma préparation pour The Big day.

Une fois prête, je courus rejoindre mon ami Cindy pour me
rendre à l’hôpital. Enfin courir est une façon de parler, disons que je me suis
rendu dans sa chambre d’un pas rapide … Et c’est là que j’appris la nouvelle,
mon collègue serait un homme. Alors que nous marchions vers le lieu de mon
premier stage, je ne pus m’empêcher de lui poser une question qui me brulait
les lèvres.

- Un homme tu es certaine ?? Qui
donc ???

- Je te le jure sur la tête de ma mère, Mark a
réussi à piquer la feuille, et tu seras en trauma avec un certain Alec, après
je peux rien te dire de plus.

- En trauma ????????? grimaçais-je Pour un
premier stage, je ne pouvais rêver mieux …

- Du sang du sang et encore du sang, que demander de plus, je donnerais tout pour avoir ta place !!
- Je te la donne !!!!!!!!!!!!! lui répondis-je en riant.

Alors que nous passions le hall d’entrée, je ressentis une
drôle de sensation. Une vague de bien être, un apaisement étrange comme si cette
endroit était mon chez moi, comme si cet endroit m’était familier. Je regardais
autour de moi, pour essayer de reconnaître quelque chose, un signe ce ce
phénomène étrange mais rien. Tant pis, après tout ce lieu allait devenir un peu
comme ma seconde maison pendant ses cinq
prochaines années.

Après ce moment d’égarement, je pris Cindy dans mes bras et
nos chemins se séparèrent. Marchant vers le comptoir, je ne pouvais m’empêcher
de penser à quoi pouvait bien ressembler l’homme avec qui je serais. Serait-il
brun, blond, grand ou mince, beau et séduisant ou peut être laid et boutonneux
comme tout ces intellos qui étaient dans ma classe l’année dernière ?
Soudain je m’arrêtai devant ma tutrice de stage, cette femme grande et mince, à
l’allure de mannequin qui m’avait reçu quelques jours auparavant pour des formalités.
Elle m’indiqua les vestiaires, le nom de mon partenaire et le résident en chef
avec qui je serais sous les ordres. Et cette partie est peu intéressante alors
je n’en raconterais pas plus.

Je me mis en route vers le vestiaire à la fois impatiente et
morte de trouille pour les jours qui allait venir. Car même si je voulais
devenir chirurgienne, je n’avais jamais encore été confronté à des patients en
chaire et en os, le seul patient que j’avais eu n’était qu’autre que Bobby mon
mannequin en plastique plusieurs fois mort car la vitesse est loin d’être mon
point fort. Je grimaçais légèrement suite à une expérience dont je venais de me
rappeler, pauvre Bobby et pauvres futurs patients !!

J’ouvris la porte une fois arrivée et au moment ou je voulu
avancer, je vis un homme de dos et apparemment déjà prêt à aller travailler.
Etais lui, ce fameux Alec ? Si c’était le cas, il me faudrait beaucoup de
courage pour rester concentré… Avançant d’un pas, je refermais la porte
derrière moi puis je regardais les différents noms de vestiaires pour tomber
finalement sur le mien. Et par le plus grand des hasards, je me retrouvais à
coté de lui.

Lui qui me regardait à présent de haut en bas et je pus
m’empêcher de rire face à cette situation. Décidément les hommes sont tous les
mêmes, et ne peuvent cacher leur intérêt dès qu’une fille passe une porte.
Soutenant son regard tout en souriant, je me dirigeais vers mon casier et plus
je m’approchais et plus je le dévisageais. Comment pouvait-on être aussi
beau ? C’est alors qu’il me tendit sa main, et je ne pus refuser de la
prendre car je ressentis un étrange sentiment. Comme une attirance, comme si je
me devais de le toucher. Pensive je pris sa main dont je ne pu décrocher mon
regard. Une fois en contact avec sa peau si douce et lisse, je levais les yeux
vers lui. SA façon de me sourire me détendis aussitôt, cet homme était un
séducteur vus les trait de sa bouche, et charmeur tout à fait le genre d’homme
qui me plaisait.
- Alec Volturi. Tu es une élève
stagiaire, je me trompe

- Alice suffira largement, répondis-je en souriant. Je suis ta partenaire.

Tout en le fixant dans les yeux, je ne pu m’empêcher de sourire.
Alec … ce stage finalement allait peut être devenir bien plus intéressant que
je ne l’avais imaginé. Je relâchais sa main pour me tourner vers mon casier.
J’ouvris la porte et attrapais ma tenue bleu ciel, que je posais sur le banc.

- Alors comme ça, toi aussi tu veux devenir chirurgien ? lui demandais-je pour entamer une conversation.


Je fis passer mon pull par-dessus ma tête, laissant
apparaitre mon débardeur qui se remonta à ma poitrine dans les feux de
l’action. D’un geste, je le rabaissais et me retournais pour enfiler mon haut
bleu. Je fronçais les sourcils suite à mon détournement car cela ne me
ressemblait pas. D’habitude, je suis loin d’être pudique, même en présence
d’homme. Je me fiche du regard des autres et surtout j’aime me sentir libre. Pensive,
je déboutonnais mon jean’s puis je me retournais vers lui avant de le
descendre.

- Tu ne veux pas me tourner le dos s’il te plait ?

Alors là, c’était carrément du n’importe quoi. Moi Alice Brandon je
demandais à un homme de me tourner le dos pendant que je me déshabillais.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptySam 31 Oct - 18:46

Maintenant qu’elle était plus près, je pouvais réellement noter la finesse d’un visage bien plus beau que je ne le pensais. Et j’étais persuadé que le grain de peau était tout aussi bluffant qu’il le paraissait. Me saisissant de sa main, je pus apprécier le contact de celle-ci, la douceur de son épiderme et sa chaleur qui semblait se fondre dans ma paume. Mon sang bouillonna légèrement à travers ce simple contact et l’envie d’en goûter davantage me traversa. Retenant sa main alors qu’elle s’apprêtait à l’enlever, je la portais à ma bouche avant de l’effleurer des lèvres, une légère caresse sans doute insignifiant mais pas pour moi. J’eus ainsi un aperçus du parfum de sa peau, délicat et subtile qui s’infiltra sur ma langue me laissant une impression plus que délicieuse. Relâchant sa main sans me départir de mon sourire, je murmurais pensivement.

-Alice? C’est un beau prénom. Il te va à merveille.

Ainsi, Kienan avait raison. J’étais un cas désespéré car je n’avais pas voulut croire en ma chance en entendant parler de binôme. E je me retrouvais avec,sans exagérer ,une des plus belles filles que je n’avais jamais vu et pourtant j’en avais vu défiler. Sa voix était aussi belle que le reste, un mélange de son de harpe avec un brin de légèreté et de cristalline. Je fis un léger sourire admiratif avant de prendre mes lunettes de soleil et de les coincer derrière ma tête tout en ajustant les branches sur mes oreilles. Je ne m’en séparais jamais, c’était une sorte de porte bonheur. Retirant ma montre au cas où car j’y tenais, je rouvris la porte du casier avant de la poser avec le reste. Alice ouvrit le casier près du mien et je lus son nom. Alice Brandon Cullen. Brandon était il son deuxième prénom ou le nom de famille de sa mère? Aucune manière de savoir pour le moment. Sa voix s’éleva à nouveau, véritable délice musicale pour poser une question qui me fit éclater de rire. Moi chirurgien… Je ne pouvais pas la blâmer de le penser puisque j’étais en fac de médecine avec elle mais c’était hilarant pour moi qui connaissait la vérité.

-Non pas du tout. C’est une obligation familiale de passer par là mais ce n’est pas ce que je veux faire de ma vie.

Je réfléchis longuement avant de savoir si je devais poursuivre ou non. Je n’étais pas du genre à me confier et je n’allais pas commencer maintenant. Mais je pouvais tout simplement lui dire un fait sans pour autant m’étaler sur cette vérité. Pensif, je m’adossais au casier avant de la regarder en souriant lentement.

-Je suis un danseur.

Je posais ma tête contre le casier, souriant à l’idée de ce qui allait se passer ce soir. Il y avait un concours de hip hop donné au centre ville, ouvert à tous le monde et donné dans un des grands clubs de la ville. Je voulais le gagner et je savais que j’en avais les capacités car après tout, n’en avais-je pas gagné plus qu’il n’en fallait en Italie et depuis que j’étais ici? Je savais déjà sur quelle musique danser, et j’avais mon numéro en tête. Ainsi, j’allais devoir répéter dans la journée entre deux opérations et autre car je ne savais absolument pas ce que j’allais faire et après tout je m’en moquais totalement. Ce qui comptait pour moi, c’était ce que j’allais faire ce soir et aussi la personne avec qui j’allais travailler aujourd’hui et pendant trois semaines je crois. Je posais mon regard sur elle au moment même où elle retira son pull. Son haut suivit le chemin du tissu laissant à l’air son ventre à la peau nacrée. Retenant mon souffle instinctivement, une bouffée de désir m’envahit, un désir que je n’avais pas prévu. Le sang frappait mes tempes et je réussis à détourner mon regard en gardant un visage impassible. Et bien… cette fille me faisait de l’effet. Je vis du coin de l’œil qu’elle déboutonnait son jean et me retournait à sa demande. Non pas que je n’avais pas envie de voir ses jambes que je devinais magnifique comme le reste mais jamais je ne ferais quelque chose qui pourrait déplaire du moins pas consciemment.

-Bien sûr

Avançant jusqu’à la fenêtre, je regardais en bas vers le bas où des ambulances venaient déposer leurs patients, des patients qu’on allait me faire coudre et autres. Je grimaçais légèrement à cette idée, je n’aimais pas taillader les autres même si le sang ne me faisait aucun effet. Mais il n’y avait rien de beau à disséquer quelque un et je savais malheureusement que c’était ce que j’allais faire et plusieurs fois. Je me retournais une fois qu’elle fut prête et ne put m’empêcher de noter combien elle était belle dans cet uniforme. Elle restait emplie de grâce et de sensualité…et la porte s’ouvrit à ce moment là ce qui m’empêcha d’aller plus loin sur une femme que j’avais déjà vu et dont je n’avais écouté aucune des paroles. A mon avis, elle n’allait pas m’aimer longtemps car sur mon cas elle semblait partagé entre deux opinions. Entre sa première impression et la façon dont mon charme l’avait touché j’imagine, car je voyais bien que j’avais tendance à la troubler facilement et son aversion pour l’étudiant en lui-même absolument pas motivé. Je ne pus m’empêcher de retenir un rire alors que je la regardais intensément, voyant son combat intérieure. Enfin, je finis par m’adosser au casier un brin nonchalant, attendant la suite du programme.

Heureusement, je savais tout ce qu’elle me disait. La médecine n’était pas du chinois bien que j’aurais préféré que ce soit le cas. Mais j’avais une bonne mémoire et je connaissais bien le sujet. Malheureusement…

-Suivez moi tous les deux s’il vous plaît, votre résident vous attends à l’accueil.

J’attrapais la porte avant de m’effacer pour laisser passer Alice avant de la suivre moi-même. M’engageant dans le couloir, j’observais les lieux d’un œil désintéressé avant de me pencher vers ma partenaire si séduisante.

-Tu sais par quoi on commence ce matin?

Ma bouche avait frôlé son oreille par inadvertance et je fus aussitôt traversé par un courant électrique assez intense qui m’aurait poussé à prolonger le contact si je n’avais pas été ce que j’étais à savoir un gentleman. Je reculais impassible attendant sa réponse.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptyLun 2 Nov - 23:01

A peine eus je finis de poser ma question, qu’il se mit à éclater de rire. Surprise, je le regardais légèrement intriguée tout en essayant de comprendre ce qu’il y avait de drôle dans ma question.
C’est alors qu’il me répondis, et je dois dire que je ne m’attendais pas du tout à ce genre de réponse car non seulement je ne comprenais pas du tout ou il voulait en venir mais en plus ce n’était pas logique. Pourquoi serait-il ici à gâcher cinq années de sa vie si ce n’est pas pour faire ce métier ?

Je m’apprêtais à lui poser une autre question quand il finit par répondre qu’il voulais devenir danseur. Je ne pus retenir un rire et honteuse je plongeais la tête dans mon casier.
J’imaginais très mal cet homme danser. Surtout avec un tel physique car il n’avait rien de gracieux et encore moins la tête d’un danseur. Inspirant profondément, je relevais la tête pour le regarder et là je le vis adosser à son casier, un peu évasif.

- Pourquoi es-tu ici alors ? Tu ne serais pas mieux en école de danse ??????

Je marquais un temps d’arrêt avant de reprendre.

- Rassures moi, tu ne fais pas de le danse classique j’espère.

Rien de pire qu’un homme en collant, et rien de pire que de voir un homme danser comme une fille.
Une fois qu’il fut de dos je poursuivis la descente de mon pantalon. Je jetais un léger coup d’œil par-dessus mon épaule pour le regarder. Non pas, parce je n’avais pas confiance en lui mais parce qu’il m’intriguait, me fascinait et il était tellement mignon … La beauté parfaite, d’un dieu grec, rien qu’à travers sa tenue je pouvais voir ses muscles se dessiner et ainsi apercevoir les formes de son corps d’apollon. Rêveuse, je ne pouvais plus détourner mon regard de lui et sans m’en rendre compte, je me mordais la lèvre comme si j’étais prise d’une envie soudaine de lui sauter dessus.
C’est alors que la porte s’ouvrit.

D’un clignement de paupière mon regard se dirigea vers notre responsable de stage qui apparemment avait trouvé notre changement de tenue longue vu l’expression que je pouvais lire sur son visage. Elle nous indiqua qu’elle nous menait à l’accueil rejoindre notre résidente ce qui signifiait que nous allions commencer à exercer. J’attrapai ma blouse blanche et l’enfilai tout en me dirigeant vers la porte qu’Alec tenait dans sa main pour me laisser passer.

- Merci, tu devrais en faire ton métier …

D’un sourire amusée et espiègle je passai devant lui et rejetai mes cheveux en arrière. Dans quel but, je ne saurais dire, peut être pour le séduire, ou simplement par pure banalité mais une chose était sûre à partir de maintenant … j’avais trouvé ma nouvelle cible.

Nous traversions le couloir, et le calme qui y régnait me paraissait fort étrange pour un hôpital.
Je glissais mes mains dans les poches, regardai à droite à gauche puis droit devant moi en apercevant le comptoir arriver. C’est alors qu’au moment ou je voulus accélérer le pas pour tenter de voir le résident qu’ Alec frôla mon oreille. Surprise sur le coup, je cessais de respirer et un courant me traversa de la tête au pied. Instinctivement je me décalai sans savoir que répondre sur le coup. Puis sans le regarder, je lui répondis tout en fixant l’accueil qui se rapprochait :

- Des points de sutures, c’était marqué sur ton dossier.

J’avais parlé sur un ton assez froid et distant, comme si j’étais sur la défensive ce qui était un comportement totalement inhabituel de ma part. Pensive, j’avançais tel un robot perdue dans mes pensées. Pourquoi m’avait il fait cet effet ? C’était bien la première fois que je ressentais comme une sorte de désir intense et à la fois une peur instable, car non seulement il me plaisait mais en plus il m’effrayait, et la question était de savoir … pourquoi.

Sans m’en rendre compte, je me retrouvai nez à nez avec notre résidente. Elle était grande, blonde, avec un visage angélique, dont le sourire faisait penser à celui d’une poupée Barbie que j’avais quand j’étais petite. Le genre de femme dont n’importe quel homme ne pourrait pas rester insensible à son charme. Bref, le genre de bimbo quoi ….

- Alice et Alec. Très bien. Je m’appelle Andréa Weber et je serais votre chef pendant trois semaines. Rassurez-vous je ne suis pas sadique ni froide comme la plupart de mes collègues disait-elle sur un ton de plaisanterie. Nous allons commencer par le matériel. Je vais vous donner votre propre stéthoscope et vous montrer ainsi la réserve de médicaments pansements et autres accessoires utiles pour les urgences de premiers degrés. Suivez-moi.

Je n’avais pas trop fait attention à ce qu’elle avait dit, les seuls mots qui m’avaient marqué furent « suivez –moi » ce que je fis immédiatement.
Je marchais toujours à coté de lui, ne savant que faire, ni comment.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptyMer 4 Nov - 21:37

Je souris légèrement morose. Elle n’avait visiblement pas compris et je n’étais pas du genre à m’étaler sur ma propre vie. Je la regardais ailleurs, repensant à cette discussion dans le bureau de mon père. Je n’avais pas le choix, je n’étais pas ici par envie. Je ne savais pas pourquoi le destin m’avait propulser dans cette école, pourquoi il ne m’avait pas laissé faire ma vie mais j’avais l’intention de le découvrir. Je refusais d’être médecin ou autre et j’arriverais à être ce que je voulais être moi. Certainement pas un chirurgien.

-Ma vie est un peu compliquée, ce serait trop long à t’expliquer mais ce n’est pas un choix. Je ne serais pas ici si j’avais décidé par moi-même.

Sa seconde phrase me choqua sans doute en raison de mon côté macho italien assez prononcé tandis que je grimaçais fortement avant de la regarder.

-De la danse classique? Non pas du tout. Je suis un danseur de hip hop, celle qu’on pratique au milieu des rues. Tu devrais y faire un tour.

Je ne serais pas contre l’avoir comme public, bien au contraire. Chercher à l’impressionner me plairait bien plus que je ne saurais le dire. Elle était ouah… Je n’avais pas d’autre mot pour la décrire et elle me captivait. Me retourner fut dur et en même temps facile quand on tenait compte de mes habitudes. Je n’en revenais toujours pas qu’elle ait pu m’imaginer dans ces espèces de collants transparents que mettait les hommes en danse classique. Quelle horreur. C’était si dégradant, jamais je n’imaginerais pirouetter dans les airs de cette façon, c’était pour les femmes.

Je me retournais à temps pour pouvoir l’admirer quelques secondes avant que la responsable n’entre et que la situation prenne un ton comique qui détendit un peu l’atmosphère électrique que je ressentais entre Alice et moi. Lui tenant la porte, sa remarque me fit sourire avant que je ne murmure avec une intensité voulut.

-Je ne suis pas certain de me contenter de la porte si toutes mes clientes te ressemblent.

Je souris charmeur alors qu’elle rejetait sa chevelure en arrière. Son odeur me frappa et je retins mon souffle, la laissant pénétrer mes veines et me monter à la terre. Il était plus que certain même que je ne saurais m’en contenter quand je voyais le corps que la naissance lui avait donné, la vie ou je ne sais qui d’extraordinairement habile de ses mains. Me glissant derrière elle, je lui posais une question, me rapprochant d’elle à excès sans que je ne m’en rende spécialement compte. Mais ce que je pus remarqué fut la façon dont elle reculait comme si elle était gênée ou touchée… Elle ne m’était pas insensible …Je souris légèrement en la voyant faire m’empêchant de la dévorer des yeux, croisant les mains sur ma nuque pour ignorer le désir de plus en plus violent qu’elle m’inspirait. Elle regardait ailleurs mais finit par répondre. Et la phrase fusa sans que je ne puisse me retenir.

-Il y a des choses bien plus intéressantes à regarder qu’un dossier.

Je ne savais pas si elle saisirait le sous entendus mais je ne parlais que d’elle. Elle était si parfaite qu’une éternité ne devait pas suffire pour rendre hommage à un tel physique. Son ton froid ne me perturba pas, c’était souvent le cas chez les filles qui niaient ce qu’elle ressentait. Elle était attiré par moi et apparemment ce n’était pas une chose qu’elle attendait bien que moi, je n’allais pas cacher que la situation me plaisait.

La résidente intervient à ce moment là, et je ne pris pas la peine de laisser retomber mes mains, me contentant de lui sourire comme à mon habitude. Je n’avais pas peur de la colère d’une femme et ne l’avait jamais subit. Son prénom me fit sourire peu après le notre. Il n’y avait que des a mais c’était une remarque que je gardais pour moi. Que la médecine ne m’intéressait pas était une chose que je n’hésitais pas à clamer sur tous les toits, mais je n’allais pas non plus faire des remarques inutiles renforçant cette idée.

Elle nous demanda de la suivre et je m’exécutais. Alice semblait perdue dans ses pensées et j’aurais aimé savoir où. En réalité, je la regardais plus elle que le couloir devant moi. Arrivant dans la salle, du moins devant, je m’effaçais à nouveau, et entrais derrière elle. Prenant dans mes mains ce dont nous avions besoin, j’arrangeais les choses tandis que nous étions menés en salle de suture. Le rêve.

-Alec prends celui là.

Mais avant de m’exécuter et de dire oui madame, je me penchais vers Alice de façon tout à fait consciente, lui soufflant de la même façon mais en restant près de son oreille sans la toucher.

-Bonne chance belle brune.

M’éloignant comme si de rien n’était, je m’assis sur un tabouret devant une femme avant de lui sourire lentement.

-Comment vous vous êtes fait cette blessure?


Elle commença à me raconter sa vie pendant que je cousais sa peau rapidement sans faire attention à mes gestes mais j’étais habile de mes mains. Pas grâce à la médecine mais plutôt aux nuits passés en douce compagnie. La terminant, il ne restait plus qu’à attendre les prochains clients. La résidente nous avait laissé quelques minutes et je détendis mes muscles. Effectuant un mouvement de bras, je chauffais mes biceps tout en me rendant compte qu’on manquait terriblement de musiques dans cette atmosphère lié à l’hôpital. C’était inintéressant comme boulot non pas que sauver des vies était inutiles mais juste pas pour moi. Vivement la pause.

Tournant les yeux vers Alice, je me rassis sur mon tabouret pour observer ses gestes.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptyJeu 5 Nov - 22:28

La réponse qu’il me donna me perturba légèrement. Non pas par son comportement mais plutôt par la situation. Apparemment, le fait qu’il soit ici n’était pas par choix mais par obligation. Et si c’était le cas là, je pense que je n’avais rien à dire sur ce sujet car cela ne me regardait pas. Mais étant curieuse c’était dur de résister à n’en rester que là mais en y réfléchissant j’avais trois semaines pour le découvrir alors je décidais de ne rien ajouter. Pour le moment …
Je soupirais soulagé quand il me précisait qu’il était danseur de hip hop bien que j’avais du mal à imaginer à quoi ça pouvait ressembler.

- Tu n’auras qu’y emmener quand nous auront un trou entre deux opérations …

Ma réponse fut sortie toute seule, et ma voix avait pris un air sensuelle pour lui faire comprendre que je n’étais pas contre de passer un peu de temps juste avec lui. Peut être ce serait l’occasion d’en apprendre un peu plus sur sa vie et aussi de me rapprocher de lui juste histoire de voir quel genre d’homme à qui j’avais à faire.

Une fois passé devant lui, je fus interloqué par ses paroles. Mais une fois que j’eue compris le sens d’ ou il voulait en venir, je décidais d’entrer dans son jeu. Sans prendre la peine de me retourner, je lui répondis de la même façon.

- Et si tout les portiers te ressemblent je doute que tu restes là… il existe des portes bien plus intéressante…

Fière de ma réponse, je poursuivis ma route d’un air satisfait.
Je ne répondis pas à sa réplique bien trop encore sous le choc électrique qu’il m’avant infligé en me frôlant.
Je suivis notre résidente dans la réserve avec Alec, lui passant devant sans lui prêter la moindre intention. Je pris le matériel nécessaire et pénétrai dans la salle ou déjà des patients étaient installés.

Andréa nous indiqua à chacun notre patient et lorsque je vis le mien je ne pus retenir un rire que je fis disparaitre en quelque secondes pour reprendre mon sérieux. C’était un vieillard, au crâne dégarnis, au ventre bien rebondis et dont une serviette reposé dessus pour ne pas tacher sa chemise à carreaux en coton et qui avait un sourire de petit garçon innocent. J’allais me diriger vers lui quand la voix d’Alec résonna de nouveau prêt de mon oreille. « belle brune » je voulus lui mettre mon coude dans les côtes mais à peine eus je le temps de me retourner qu’il était déjà parti vers sa patiente. Je le fusillais du regard tout en restant sur place quelques minutes. Comment avait-il osait recommencer ? Non seulement ça me mettait hors de moi mais en plus je n’arrivais toujours pas à comprendre ce qui m’arrivait.
Ne le lâchant pas des yeux, je me dirigeais vers mon patient et trébuchai dans un fil me rattrapant de justesse à un siège, ce qui attira les regards sur moi alors que je n’étais même pas tombé. Je levais les yeux au ciel et soupirais une fois devant le vieil homme qui souriait toujours innocemment.

J’essayais de me détendre pour me concentrer sur la plaie bien ouverte du vieux monsieur. Je m’asseyais sur un tabouret à roulette, de façon à tourner le dos à Alec car si je le regardais encore une seule fois, dieu seul serait ce qui se serait passé…

- Vous savez comment j’ai fait ça mademoiselle ?

- J’ai hâte de le savoir !!!!!!! répondis-je en souriant au vieillard.

Il se mit à me raconter sa mésaventure, qu’il était en train de déjeuner et que la sonnerie de son téléphone l’a fait sursauter alors qu’il se coupé une tranche de pain et le couteau a fini sa course dans son bras… je l’écoutais tout en me retenant de rire, imaginant la scène tout en nettoyant la plaie soigneusement. Puis je pris mon aiguille et mon fil que j’introduisis dans sa peau. Je continuais de lui parler pour ne pas l’inquiéter car bien que son look paraissait amusant, il était adorable.

Adorable comme la plupart des gens que je rencontre … J’ai tendance à aimer tout le monde ce qui me créer parfois de drôle de surprises. Car généralement les gens sont loin d’être tous des anges mais bon je préfère ne pas me prendre la têt et vivre le moment présent avec la personne. Ce qui me fis penser que LUI, cet Alec Volturi machin chose, je le détestais ! Alors que je pensais justement à lui, je me retournais et le vis en train de me fixer. Je lui tirais la langue comme une enfant et je me moquais complètement de ce qu’il pouvait en penser. J’adressais un sourire au vieux monsieur et lui pris la main gentiment.

- Faites attention la prochaine fois. Rentrez bien.

Je me levais pour attaquer ma prochaine victime mais Andréa m’arrêta.

- Allez vous détendre un peu tout les deux, je m’occupe du reste. 30 minutes de pauses et ensuite on attaquera du lourd.

Je souriais faussement pour lui répondre et parti en direction des vestiaires sans le regarder. Je fermais la porte derrière moi, et je marchais vers mon casier. Attrapant ma veste, je fouillais mes poches pour trouver mon portable. Je soupirais voyant que je n’avais reçu aucun message de mon petit ami et rangea mon téléphone. Je refermai mon casier puis m’arrêtai sur celui d’Alec.
Sans m’en rendre compte, je caressais l’étiquette ou figurait son prénom et son nom et à ce moment même la porte s’ouvrit.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptySam 7 Nov - 2:18

    L’impassibilité avait envahit mes traits tandis que je m’attendais à des questions sur le pourquoi du comment de mes obligations à être ici. Je cherchais déjà un moyen de m’en sortir sans pour autant la froisser car voir son beau visage s’assombrir ou encore être en proie à une blessure que je lui aurais infligée sans y prendre garde. Mais elle n’en fit rien et c’était mieux ainsi. M’étaler sur ma vie, je ne pouvais pas avec n’importe qui, même si la fille était splendide. C’était trop donné et justement, c’était bien ce que je m’interdisais d’autant plus que je n’en avais pas besoin. Cependant, elle ne stoppa pas le sujet pour autant. Je me retournais surpris à sa demande avant de hocher imperceptiblement la tête. Sa voix avait été différente comme si…je n’étais pas le seul à draguer. Lui répondant dans un murmure, je la regardais dans les yeux avec une intensité nouvelle.

    -Je t’emmènerais…

    Cette fille m’intriguait, me perturbait. Elle était une des premières si ce n’est la première à retenir autant mon attention, car je n’arrivais pas à savoir ce qui se déroulait dans sa tête, je ne saisissais pas qui elle était. Elle semblait fragile surtout qu’elle était petite de taille et son visage d’ange respirait l’innocence. Son sourire était un appel à la vie, ses yeux pétillant semblaient appartenir à ceux d’une petite fille et pourtant…cette voix de femme sensuelle et mûre venait d’elle et maintenant voilà qu’elle recommençait à m’impressionner en avançant une telle remarque. D’autres portes plus intéressantes… Elle m’ouvrait une porte justement et je n’allais pas la laisser se refermer aussi facilement.

    -Et tu comptes m’en montrer une Alice?

    J’avais bien appuyé son prénom. Après tout, elle m’avait tendu une sacrée perche et ne pouvais ainsi m’en vouloir quoique les femmes… Elles n’étaient pas toujours compréhensibles. D’ailleurs, quelques secondes plus tard, elle me fit davantage penser à un robot qu’à la jeune fille des vestiaires. Intrigué par son comportement, je me posais des questions , à savoir ce qui pouvait la mettre dans cet état. Mais je n’en avais aucune idée bien que mon comportement dans le couloir pouvait être une cause possible, ce qui signifierait que je la troublais encore bien plus que je ne le pensais et que j’avais une chance avec elle. Mais bizarrement, je voulais plus qu’une nuit avec elle, la mettant simplement au rang de mes autres conquêtes. Je souhaitais aussi la connaître et savoir ce qui se cachait derrière ce petit bout de femme, derrière cette femme que je savais infiniment femme justement, sensuelle et provocante…et bien dans le bon sens du terme, je sentais qu’elle l’était.

    Je l’observais s’occuper de l’homme avec une pointe d’envie légère, trop légère pour qu’elle me perturbe. Ce n’était pas la première que ce genre de choses m’arrivait. En réalité, je me voyais très bien à la place de cet homme et me faire caresser la peau du bras d’une aiguille tenue par sa main. Elle se retourna alors et me tira la langue sans que je ne comprenne son geste. Pourquoi avoir eu droit à marque d’attention aussi infantile? Levant un sourcil perplexe, je la fixais incrédule tandis qu’elle retournait à sa tâche. Décidément, elle était spéciale et totalement différente, jouant sur l’ambiguïté d’un jeu passionnant que je ne contrôlais pas à moi seul.

    Alice voulut passer à un autre patient tandis que je restais sur le confortable tabouret que je m’étais seul attribué, nonchalant, les mains sur ma nuque, mais Andréa passa pour nous donner notre première pose. Une excellente nouvelle car la médecine me prenait la tête. Certes, j’aimais parler aux patientes, leur sourire et les voir rougir mais c’était tout ce qui arrivait à retenir mon intérêt. Quoiqu’il y avait Alice sur laquelle je me focalisais à présent. Une Alice qui,une fois le message entendu, parut sourire d’une façon crispée qui ne lui ressemblait pas. Elle était totalement à mon opposé si le fait de ne pas exercer trente minutes lui déplaisait à ce point.

    Elle sortit en coup de vent m’ignorant totalement ce qui me fit réfléchir. Elle ne pouvait tout de même pas être dans cet état pour un frôlement d’oreille? Me relevant pour ne pas déranger, je fouillais les poches de mon pantalon bleu ciel avant d’attraper mon MP3 et de récupérer mes écouteur et mon lecteur musique. L’allumant, je plaçais les écouteurs dans mes oreilles tournant sur moi-même au rythme des notes qui me donnaient envie de bouger. Arrivant devant la porte des vestiaires je posais la main sur la poignée. Qu’elle ait fermé pouvait signifier qu’elle était en train de se changer mais elle devait se douter que ce n’était pas dans l’endroit. Et puis elle savait que je devais venir donc elle ne pouvait faire une chose aussi stupide.

    L’actionnant, je rentrais toujours pris dans ma musique quand levant la tête, je tombais sur une image déroutante. Elle n’était pas devant son casier mais le mien que je reconnaissais pour pouvoir lire les prénoms d’ici bien qu’au départ j’eus un doute. Et j’en avais encore un sur ce que je venais de voir. Pourquoi aurait elle caresser étiquette ce n’était pas logique…et pas compréhensible. M’avançant tout en retirant un de mes écouteurs, je passais derrière elle avant de vérifier, ce qui était le cas. M’adossant au casier, je croisais les bras tout en réfléchissant. Elle avait l’air de bien m’aimer tout compte fait ou peut-être que je lui faisais peur tout simplement ou du moins ce que je pouvais lui inspirer. Et il n’y avait qu’un seul sentiment qui pouvait correspondre à savoir le désir.

    Cependant elle semblait vouloir tout nier en bloc également car si au début elle était rentrée dans mon jeu, depuis la salle de suture, elle était froide et limite au bord de la haine puis presque tendre une fois dans les vestiaires. A moins qu’elle ne pensait à la meilleure façon de m’étrangler en douceur ce qui était possible aussi bien que ses raisons demeuraient obscures.

    -Je pense que tu t’es trompée de casier.

    Tournant la tête vers elle, je plongeais mes yeux dans les siens. Il n’y avait qu’une façon de voir et de savoir ce qu’elle avait dans la tête. Si elle me désirait je le saurais rapidement. Bondissant sur le banc, je replaçais mon écouteur dans mon oreille avant de m’imprégner de la musique et de bouger les bras en rythme, d’abord par mouvements lents et saccadés. Puis la musique partit et mon genoux se leva subitement avant que je ne commence à aller beaucoup plus vite, effectuant avec aisance une chorégraphie improvisée, me laissant emporter par des notes que je connaissais bien, laissant mon corps prendre le contrôle, mon cerveau mis en veille.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptyDim 8 Nov - 16:01

Je marchais, attendant de voir comment il allait prendre ma réponse. Serait-il surpris et ne demanderait rien de plus ou alors allait-il entrer dans mon jeu ? Je n'eus pas longtemps à attendre, et ces mots me figèrent quelques secondes. Avais-je bien compris ce qu'il m'avait dis, voulait il vraiment jouer avec moi car si c'était le cas, il n'était pas au bout de ses surprises et pour preuve, je lui répondis sans prendre la peine de le regarder, d'un sourire espiègle.

- Chambre 425, dortoirs des filles des que tu as du temps devant toa passes me voir.......................


Je riais toute seule de ma réponse car soit il le prenait pour une invitation à aller plus loin soit il me prenait pour une folle qui ne savais plus ce qu'elle disait. Bien entendu, j'espérais de tout coeur qu'il le comprenne comme une invitation car s'en était une. Comme je l'avais dit auparavant, j'avais choisi ma cible, et je comptais bien viser cet homme en plein coeur. Après tout, Alec avait une réputation de grand coureur de dames, et apparemment aucune ne lui résistait...
Aucune ... moui sauf moi. Ce que je voulais dire par là, c'est que je ne rentrais pas dans son jeu de séduction non, je le faisais entrer dans le mien...

Toujours fixé sur l'étiquette de son casier, je fus prise d'un léger sursaut en entendant la porte s'ouvrir. Faisant mine de chercher quelque chose dans ma poche, j'entendis la personne qui ne pouvait être qu'autre que lui se rapprocher de moi. Je ne voulais en aucun cas lui montrer que je m'intéressais à lui et je commençais à trouver cette situation embarrassante. Car plus les minutes passaient et plus je me poser des questions sur le pourquoi du comment que m'infligeais cet homme.
J'étais attiré par lui certe, mais jamais de ma vie, un homme m'avait autant préoccupé pas même mon petit ami. J'avais l'impression de vivre quelque chose de tout nouveau pour moi, une sorte de nouvelle expérience, une nouvelle façon de connaître des sentiments auxquels je n'arrivais même pas à mettre un nom dessus.

Je soupirais légèrement perdue dans mes pensées à regarder la poche de mon pantalon et c'est alors qu'il me parla. Je fis semblant de m'être trompé en relevant la tête vers l'étiquette en esperant qu'il ne m'est pas vu caresser son nom, et lui souriais innocemment.

- oh.......... oui j'ai vu, mais en faite je cherchais un papier dans ma poche et je me suis arrêtée devant ton casier.

Ce qui étais un léger mensonge mais bon, je n'allais pas lui dire qu'en faite j'étais perdu dans mes pensées et que j'étais attiré par lui. Quoi que je me demandais comment il réagirait si je lui affirmais une telle chose... Tandis que je me perdais dans son regard intense, je laissais mon imagination prendre le dessus. Et ce que je voyais était loin de me déplaire, au contraire ... car je l'imaginais sans son haut, dévoilant ainsi son torse parfaitement sculpté, ses bras dont les muscles bien dessiné se serraient autour de moi, j'imaginais aussi son souffle se répendre sur ma peau et bien d'autre chose encore mais je ne pu voir plus loin car je le vis bondir sur le banc.
Surprise, je m'adossais a son casier, m'appuyant contre mes mains derrière mon dos et le regardai intriguée.
Une fois que je compris qu'il était en train de danser, je me mise à rire car je trouvais cette situation hilarante. e n'entendais pas de musique et lui danser sur un rythme dont je n'avais aucun son.
Le dévorant des yeux, je m'attardais sur chacun de ses gestes en admirant sa façon de bouger, admirant chaque centimètres de son corps^.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptyDim 8 Nov - 19:00

    Je la fixais, surpris par tant d’audaces. Évidemment ce n’était pas la première fois que je vivais ce genre de situations mais d’ordinaire, c’était des femmes d’âge mûre qui faisaient ce genre de demandes, les femmes qui souhaitant se protéger du regard de leur maris, vous remettez en main propre le numéro de leurs suites d’hôtel. C’était ressemblant bien qu’elle me donnait l’adresse d’un dortoir, un numéro que je gravais dans mon esprit. La regardant intensément, je me retrouvais totalement sous le charme de cette belle brune provocante à souhait et surtout avec un culot qui me faisait totalement craquer. A mon tour d’être complètement fou avec elle, mais moi c’était une habitude qui ne m’étonnait plus de ma part. Me penchant légèrement vers elle, je lui soufflais.

    -Tu l’es toi ce soir?

    Je souris, dévoilant légèrement mes dents blanches, dents que je rêvais de planter dans sa chaire afin de la marquer, je rêvais de la sentir perdue sous mes caresses, d’entendre les soupirs ou gémissements qu’elle pouvait émettre. Mais j’étais surpris de voir qu’elle était célibataire,ce que j’avais deviné vu le jeu qu’elle jouait avec moi. Comment une femme aussi belle pouvait se retrouver seule? Enfin, c’était tant mieux pour moi quelque part.

    Cependant elle oscillait entre le froid et le chaud et je ne savais plus très bien ce qu’elle voulait au bout de quelques minutes. J’avais l’impression de lui faire découvrir des choses qui la frappait, peut-être un désir plus intense que ce qu’elle connaissait habituellement. Toujours est-il qu’elle n’avait plus l’air de me porter dans son cœur pendant toute la durée des suturassions. Son invitation tombait elle à l’eau? Changeait-elle d’avis effrayé à la perspective de ce qu’elle pouvait ressentir dans mes bras? Je n’étais pas certain de cette hypothèse car son culot prouvait admirablement bien qu’elle n’était pas du genre à avoir peur.

    Cette fille était un mystère et ne cessait de m’intriguer. A moi d’essayer de la piéger pour voir ce qu’elle voulait vraiment. Poussant la porte des vestiaires, je restais interdit face à la scène qu’elle offrait. Mais je n’étais pas sûr de moi puisqu’elle avait baissé aussitôt la main. Bizarre…Elle prétexta alors chercher un papier dans sa poche mais je ne la crus absolument pas. Je connaissais plutôt bien les femmes et je savais pertinemment qu’elle n’était pas devant mon casier par hasard. Je l’intriguais d’une certaine façon moi aussi et puis, je devais également lui plaire. Enfin…il n’y avait qu’une façon de le savoir.

    Debout sur le banc après y avoir bondit, je mis la musique à fond sur mes oreilles, ne l’entendant plus, seulement porter par des notes qui me poussaient à bouger de telle ou telle façons. Mes bras se pliaient et se tendaient au rythme saccadé de la musique, tandis que mes jambes suivaient également le mouvement de mes bras, tantôt le genoux remontant ou alors partant vers l’arrière avant que mon corps ne se retourne brusquement à l’opposé. Puis me laissant tomber en arrière, je posais ma paume sur le banc avant de tendre brusquement la jambe tout en attrapant le tissu de mon pantalon,jouant avec sans cesser mes mouvements, laissant ensuite mon avants bras épouser le bois. Pivotant pour retomber sur le dos, je lançais mes jambes vers le haut avant d’arc bouter mon torse, si bien que je ré atterris sur mes pieds sans m’avoir aidé de mes mains une demi secondes. Poussant sur le côté ma tête pour donner un style, je m’étais complètement emporté, laissant la danse me contrôler. Elle était la seule à savoir prendre le pas sur moi.

    La musique cessa, et je m’immobilisais le front couvert de sueur tandis que je sautais sur le sol pour alors apercevoir son regard. Ce que je savais déjà devenait certitude, elle me désirait autant que je la désirais ce qui était un bon point. Mais avant de m’appesantir là-dessus, je devais me changer puisque j’étais couvert de sueur et que le haut de mon haut était légèrement mouillée. Je n’étais pas certain que la résidente apprécierais et puis il y avait des rechanges dans les casiers, il me suffisait d’attraper un autre haut. D’autre part, je ne sentais pas la transpiration bien que mon front et mon torse était humide et ce grâce au déo. Je ne me ferais pas prendre et je pourrais danser à volonté sans me faire houspiller par la direction ce qui n’était pas plus mal.

    Retirant mes écouteurs, je soufflais à la jeune fille de mes pensées.

    -Le démon de la danse, excuse moi…

    J’appuyais doucement sur son bras pour qu’elle se pousse puisqu’elle se tenait toujours devant mon casier avant de faire passer mon haut par-dessus ma tête, restant à demi nu devant elle. Ce qui ne me dérangeait pas bien au contraire. Puis j’attrapais un second haut clair avant de l’enfiler. Ni vu ni connu.

    Je lui souris charmeur avant d’ajouter.

    -Tu vois je suis loin du classique.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptyLun 9 Nov - 3:32

Je me retournais pour observer sa réaction et je me fus happer par son regard intense.
Un regard tellement perçant, qu'il me fit perdre mes moyens, perdre même la tête quelque seconde. Je voulus même détourner le regard mais je n=me forçais à ne pas le faire. Je ne pouvais pas le faire tout simplement, sinon j'aurais perdu mon jeu, perdu ma cible alors que je tenais la flêche dans la bonne direction.
Son sourire n'arrangea pas la situation, mais je resta impassible, je me devais de le rester. Je pris une profonde inspiration et d'un regard charmeur, je pris une vois sensuelle pour lui répondre.

- je suis là pour toi quand tu veux, et ou tu veux...........

Reprenant mes esprit, je ne pu résister à lui faire un clin d'oeil, un geste simple mais qui généralement troublait mon partenaire masculin. Et je prenais un malin plaisir à le faire...

Je le regardais danser sur le banc, oubliant complétement à tout ce que j'avais penser auparavant. Je me perdais dans la contemplation de ces gestes à la fois ordonnés et gracieux, certes rien à voir avec la grâce habituelle des danseurs, non la sienne était différente, elle rendait ses mouvements agréables à regarder, c'était entrainant, et à la fois fascinant.
Il finit sa démonstration et je remarquais l'humidité se rependre sur son visage angélique ainsi que sur le tour de son col. La sueur avait trouvé place sur son haut bleu qui faisait ressortir ses yeux intense dont la pupille avait doublé de volume face à l'effort qu'il venait d'accomplir. Me mordant légèrement la lèvre, j'aurais tout donné pour prendre une serviette et essuyer cet homme qui avait pris possession de mes pensées. Je me redressais contre le casier, et lui souriait admirative.
Il retira ses écouteurs et s'approcha de moi avec une réplique qui me fis rire.

- Je ne vais pas t'excuser mais plutôt te disputer pour oser passer ton temps ici alors que tu pourrais intégrer les plus grandes écoles de danses avec un tel talent............

Et non je n'exagérais pas car après ce que je venais de voir, je comprenais de moins ne moins pourquoi perdre son temps ici alors qu'il avait de telles capacités. Mais aborder le sujet là avec lui avait l'air contraignant alors je patienterais jusqu'à ce qu'il m'en parle de lui même et adieu ma curiosité maladive pour le moment.

Il se dirigea vers son casier, celui dont j'étais toujours devant et je ne pris même pas l'initiative de m'y pousser. Sans le quitter des yeux, je fixais sa démarche virile s'approcher de moi et d'un geste léger il me poussa doucement.
Je ne dirais pas intimidée mais légèrement mal à l'aise, je me décalai d'un pas sur la droite. Dans le plus grand silence, je me contentais de le regarder. Je ramenais mes bras à ma poitrine et les croisais tout en réfléchissant à un sujet de conversation pour m'empêcher de repartir dans des fantasmes fous. Mais rien ne me venu en tête, à part son sourire qui m'apparaissait comme des flash à présent. Mon dieu je devenais folle, même pire que ça, je devenais parano à cause d'un homme... Je grimaçais toute seule en me demandant ce qu'il m'arrivait et là il se mit à moitié nu devant moi. J'avalais ma salive et ouvris de gros yeux surpris. Le souffle coupé, j'ouvris la bouche s'en m'en rendre compte et je me mis à détailler son torse de haut en bas. Ce n'est même pas détailler que je faisais non, je le dévorais des yeux, et je dus même serrer mes poing car un désire intense venait de s'emparer de moi. Je voulais poser mes mains sur son torse, je voulais toucher cette peau qui m'apparaissais nu et luisante devant moi. il fallait que je me reprenne immédiatement, il fallait que je détourne mes yeux, il me fallait quelque chose et vite car je n'étais plus qu'à quelque secondes d'exploser. Et si jamais cela avait lieu, seul dieu serait de quoi j'aurais été capable, mais une chose est sûre, il n'aurait pas gardé son bas longtemps ...
Je décidais donc de m'assoir sur le banc histoire de marcher et de lui tourner le dos quelques secondes le temps qu'il enfile un nouveau haut.
Et comme par hasard cela fonctionna à merveille, comme par magie, je senti la vague de chaleur s'appaiser et mes poings se désserèrent doucement. µJe levais les yeux vers lui, en souriant comme à mon habitude et il me répondit d'un sourire à couper le souffle. Je m'en mordis la lèvre par reflexe et me perdit dans ses yeux sans pouvoir rappliquer à sa parole légèrement amusante.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptyMer 11 Nov - 0:00

    Retenant mon souffle quelques minutes, je pris soudainement conscience de ce qu’elle venait de confirmer. Et bien mon grand…je n’aurais jamais pensé finir la soirée de cette façon, l’ayant plutôt imaginé dans ma chambre, sans bouger de mon lit, démoralisé d’être entraîné dans ce monde qui n’était pas fait pour moi. Et au lieu de ça….

    -Ce soir 21 h…chambre 425

    Je lui souris de nouveau charmeur tandis qu’elle me faisait un clin d’œil. Amusé, j’inclinais la tête pour lui montrer que je lui tirais ma révérence. Cette fille était décidément stupéfiante, et maintenant je savais en quoi ma journée serait magnifique. Elle se terminerait en apothéose. Comme quoi ce n’était pas sous le signe de malheur que d’être dans cette université.

    Le banc était devenu le terrain me mettant à nu. Je n’aimais pas parler de moi quoi qu’il arrive mais en dansant, je me mettais à découvert, il n’y avait plus aucune barrière, seulement mon corps qui parlait, mon caractère qui ressortait, toute ma personnalité, tout ce qui faisait que j’étais un être à part entière, tout ce qui était moi. Tout passait part mes mouvements, ma façon de bouger, de prendre la musique et de l’écouter. Au départ, je me souvenais d’avoir voulut la draguer en jouant de mon corps mais je l’avais oublié pour ne prendre plus conscience que des notes. Mais j’avais conscience de sa présence et je m’étais donc attardé sur une musique plus sensuelle que d’ordinaire, rendant mes gestes fluides un peu plus lent que d’ordinaire bien que le débit était important. Mais toute chose a une fin. M’immobilisant sur mon banc, j’essuyais du bras mon front mat, remarquant mes cheveux humide. La route jusqu’au casier fut intéressante pour le regard de la belle brune qui me servait de partenaires. Je lui plaisais j’en étais désormais plus que certain.

    Sa réplique m’immobilisa tant la surprise me paralysait et je me tournais vers elle plongeant mon regard dans ses yeux marrons chocolats. Je lui souris, touché par un compliment que je savais sincère et surtout marqué par une affirmation admirative qui me plaisait.

    -Je l’aurais fait si on m’en avait donné la possibilité. Donc au lieu de cela, je danse dans la rue et dans les salles de médecines.

    Ce qui me fit penser à la battle prévue pour ce soir. Elle était à 17h dont j’avais le temps d’y passer avant de la rejoindre… Mon regard glissa sur elle tandis que je me changeais et son air fut immédiatement reconnaissable. Baissant légèrement la tête vers mon torse, je ne m’y attardais pas, mettant mon haut bleu tandis qu’elle partait. Et bien…;si on passait le pas un jour, ce serait chaud bouillant je le sentais. M’avançant vers elle, je me laissais tomber sur le banc à mon tour, ne sachant que trop lui dire. Le désir entre nous était palpable et plus que présent, et je ne savais comme réagir. La porte s’ouvrit alors devant une personne que je connaissais … de nuit.

    Aless ▬ Ouah mais regardez qui voilà!
    -Aless

    Je ne pris pas la peine de me relever mais elle se jeta sur mes genoux sans me demander mon avis, se lovant contre mon torse de façon très spéciale. La repoussant en douceur, je la regardais impassible. J’avais été clair avec elle et la nuit qu’on avait partagé était terminée. Mais parfois les filles avaient du mal à entendre raison. Sa bouche s’écrasa contre ma joue alors que je fronçais les sourcils tandis qu’elle discourait sur sa vie ici, ses amies et d’un tas de trucs dont je me fichais totalement. En réalité, je pensais davantage à Alice assise à côté de moi. Mais après tout, que pouvez me faire son avis? Quoique non, si je voulais la séduire, il ne fallait pas qu’elle me croit en couple. Me relevant pour de bon, je lui souris charmeur.

    -Tu m’excuseras Aless mais réserves ce genre d’anecdotes pour ton petit ami. J’aime garder le mystère sur les filles avec qui je suis sortit.

    Je lui fis un clin d’œil avant de regarder Alice puis de sortit de la salle en oubliant mon lecteur. Zut…et tant pis. Je n’avais aucune envie de subir des assauts bien que pour moi j’avais réussit à la calmer pour de bon. Avançant dans le couloir au hasard, je me surpris à regretter Alice et ses changements d’humeur, ses clins d’œil ou autre. Ce qui était normal vu qu’elle était la seule que je connaissais ici sauf exception à éviter.

    M’adossant au mur, je baissais la tête vers mes bras croisés, une jambe remontée contre le mur, attendant que la belle brune sorte du vestiaire et me rejoigne. Car je n’avais aucune idée de l’endroit où se trouvait la salle où nous attendait la résidente, ne connaissant pas du tout l’hôpital. La musique me manquait, et je cherchais des paroles dans ma tête, fredonnant doucement tout en repensant à ce qu’elle m’avait dit… Pour elle, j’avais assez de talent pour entrer dans une école.. J’avoue ne m’être jamais posé la question, les sachant inaccessible. Relevant la tête les yeux fermés, mon pied toujours contre le mur, je me pris à imaginer ce que serait ma vie si demain j’entrais dans une grande école. Ne fais que ce que j’aime en dépit de mon père. Un bonheur et rêve que je ne connaîtrais pas avant un moment.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptyMer 11 Nov - 4:03

Je ne pris pas la peine de réfléchir en entendant sa réponse et d'une voix sensuelle je lui répondis:

- Ne sois pas en retard....................

Ce fut les derniers mots que nous échangeâmes sur le sujet. Je n'avais rien à ajouter car j'avais fait comprendre tout ce que j'attendais de lui. Même si cela ne pourrait pas paraitre clair pour certain, si Alec envisageait les choses comme moi, il serait devant ma porte à 21h. Je souriais sournoisement de cette éventualité. J'avais trop remarqué l'intensité qu'il régnait entre nous, une sorte de courant électrique qui faisait que nous étions instable l'un face à l'autre. Quelque chose nous attirait, c'était fort, puissant et plus je passais dui temps avec lui, plus cette chose me fascinait. Ce n'était pas ma cible que je visais, c'était elle qui venait à moi, et bien que cela ne me déplaisait pas au contraire, je commençais à craindre ce qui allait se passer. Et si ce n'était qu'un coup d'un soir, bon certe ce ne serait pas la première fois, mais avec lui, j'éprouvais une sorte de tristesse à imaginer cette situation. Pourquoi ? et j'avais beau chercher, je ne trouvais pas la réponse pour l'intant.

Après l'avour vu danser, je venais de découvrir une autre facette de ce don juan. J'avais découvert une enorme' partie de sa personnalité, la plus importante surement. La partie dont il y mettait tout son coeur pour la rendre magnifique, la partie de lui qui le rendait comme heureux, qui le rendait interessant, qui montrait qu'il n'était pas un simple dragueur, non il était quelqu'un de fort et battant. J'avais pu voir la beauté de ces gestes, la douceur dans lequelle il bougeait au rythme de la musique, je venais de découvrir bien plus que je l'aurais espérée.

Après l'avoir vu se changer, je restais assise sur le banc, le bois entre mes doigts que je serrais de moins en moins fort au fur et à mesure que le temps s'écoulait. C'est alors que la porte s'ouvrit et la une fille entra.

Stupéfaite, je la regarder se dandiner sur les genoux d'Alec. Qui était ce folle, qui ose entrer comme ça comme si de rien n'était ???? Bon les vestiaires ne nous appartenais pas certe mais quand même, il y avait des limites, surtout que ça se voyait qu'on était occupé. Je levais les yeux au ciel en l'entendant raconté son "3615 ma vie est une horreur" puis me contentais de fixer le casier devant moi. Pourquoi, cette fille me mettais sur mes gardes ????? je ressentais comme une rivalité avec cette nana qui avait l'air d'avoir le cerveau d'un poisson rouge, et cette situation était complétement ridicule!!! Pourquoi resssnetir un tel sentiment alors que je ne connaissais Alec pas plus que ça ??? Je me mis de nouveau à serrer le banc entre mes mains pensive, puis Alec se leva et passa la porte en lui adressant un clin d'oeil et en me regardant simplement. Je me retrouvais donc avec la folle, voila comment je l'appellerais maintenant, ce nom lui allait à merveille en plus. Cette situation devenait trop embarassante, et je commençais à manquer d'air.

Ne savant pas quoi lui dire, je me leva et me dirigea vers la porte quand je remarqua le lecteur d'Alec sur le banc. Je la vis elle aussi le regarder et je me jettais littéralement dessus.

- Je vais lui rendre, j'ai cours avec.

Je lui lança un sourire faux et mesquin. Et puis zut, cette fille je l'aimais pas et c'était comme ça. Lui arrachant presque le lecteur des main, je sorti dans le couloir et me mis à le chercher des yeux. Ou pouvait-il bien être ????
J'avançais serrant le lecteur comme si je détenais au creux de mes mains l'une des plus belles merveilles du monde. Avançant droit devant moi, je regardais de gauche à droite, cherchant la moindre trace de son passage et c'est là que je li vis. Adossé à un mur, les yeux fermés comme s'il dormait debout. Je souriais, en m'approchant de lui sans louper le moindre geste de son visage. Décidément la nature l'avait parfaitement réussi, il était encore plus beau comme ça. Je marchais vers lui et m'arretai en face de son visage angélique. Toujours les yeux fermés, je pris une voix douce pour ne pas lui faire peur.

- Tu as oublié ton lecteur dans le vestiaire.

Tendant les mains vers lui comme si je lui faisais une offrand, je lui adressais mon plus beau sourire.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptyMer 11 Nov - 15:17

    -Je ne serais pas en retard.

    Je ne pouvais l’être… Ma battle ne durait qu’une heure, le temps de rentrer 19h, de me changer et de revenir, je serais à l’heure voir peut-être en avance. Enfin je ne taperais à sa porte qu’à 21h pile, en bon gentleman que j’étais, je n’allais pas lui sauter dessus avant l’heure prévue, ne pas lui sauter dessus d’ailleurs sans qu’elle n’ait fait un geste qui me confirme bel et bien qu’elle le voulait ce soir. Sait-on jamais avec une femme, elles étaient si compliquées. Mais surtout si désirables… Et ce que je ressentais pour celle-ci dépassait le stade du simple désir, je brûlais de toucher sa peau dévoilée, de renverser sa tête et de prendre ainsi sa bouche qui me serrait offerte, de caresser ses lèvres douces et soyeuses pour ensuite les mordre légèrement. Et je fantasmais sur cette fille à un point innommable. Cependant, que se passerait-il ensuite? Elle semblait une mangeuse d’hommes autant que je pouvais être un womanizer, sinon elle n’aurait pas été aussi à l’aise à me draguer de cette façon et pas autant de marbre devant mes propres tentatives bien qu’elles l’avaient touché. En fait, mon esprit demeura un peu bloqué sur le soir à venir, et je sentais mon sang brûler mes veines, incendiant ma peau avec une intensité inouïe si bien que je me demandais si j’allais vraiment tenir jusqu’au soir. Mon regard se glissa sur ses courbes tandis qu’elle s’éloignant et je collais ma joue à la porte avant de la refermer en douceur. Ce n’était pas certain.

    Si bien que je fis tout pour la charmer, même de donner quelque chose d’assez précieux, de lui dévoiler plus que je ne pouvais le faire avec d’autres. Cette fille semblait déjà vouloir allez plus loin mais je voulais…je n’en savais rien en fait, ce n’était pas clair dans ma tête, je savais juste que je me laissais porter avec une passion. En fait la danse corporelle était une façon de faire l’amour de loin, et c’était parfois de l’érotisme à l’état pur sans en être. En vérité, je lui montrais ce que pourrait être une relation à deux même d’une nuit bien que je n’étais pas certain de satisfaire le désir qu’elle m’inspirait en une nuit. De toute façon on y était pas et rien n’était fait. Donc je bougeais, jouant des mains comme je pourrais le faire sur le corps d’une femme même si dans la danse, je donnais bien plus que moi. Lorsque je faisais l’amour à une femme, je lui donnais mon corps, du plaisir, lui faisait partager mon désir, la rendait fort. Mais mon âme et mon cœur n’y était pas contrairement à maintenant.

    Une fois sur le banc, je réfléchissais à la manière de l’aborder quand une fille fit son apparition et quelle fille. Une conquête d’un soir, une de celles qui ne comprenait pas les termes de sans attaches et une nuit. Elle s’était visiblement accroché à moi comme une sangsue tout comme au sens littérale, vu sa façon de se lover contre moi. Et allez savoir pourquoi, ça me plaisait encore moins que d’ordinaire. Me relevant rapidement, je finis par la fuir dans le couloir, m’adossant au mur après avoir oublier mon lecteur.

    La porte s’ouvrit sans que je n’ouvre les yeux, profondément perdu dans mes pensées. En réalité, c’était son visage que je voyais, et je comprenais que cette fille m’obsédait et m’obséderait certainement jusqu’à ce qu’il se passe quelque chose entre nous. Le climat était électrique et prenant, intense et déroutant, et je ne comprenais pas comment je pouvais autant désirer une femme que je connaissais à peine. C’était…étrange et inhabituel.

    Sa voix s’éleva, un souffle de vent et j’ouvris les yeux en douceur sans pour autant bouger davantage. Elle me tendait avec précaution mon lecteur et je souris lentement avant de tendre la main et de prendre la sienne par le poignet. Ouvrant les doigts, je les posais sur sa paume, glissant sur sa peau tout en prenant le lecteur, avant de retirer ma main sans la lâcher. Retournant son poignet, je baissais la tête avant d’effleurer sa main des lèvres, pressant ma bouche sur sa peau satinée avec un peu plus d’entrain que d’ordinaire. J’avais du mal à m’en détacher, désirant plus que ce que je n’avais déjà mais je finis par me redresser avant de la lâcher.

    -Merci Alice.

    J’avais appuyé son prénom, le prononçant d’une voix un peu plus rauque, vibrante d’un désir contenu que j’avais du mal justement à garder pour moi. Plongeant dans ses yeux, je restais silencieux, m’immergeant dans ses prunelles. Me décollant du mur, je brisais la chose, respirant à fond avant d’avancer dans le couloir pour regagner la salle. Impossible de suturer dans des conditions pareils. Allumant la musique, je mis une oreillette avant de faire quelques pas sans réellement m’en rendre compte.
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MessageSujet: Re: I don't know who you are but I want to know [Alice]   I don't know who you are but I want to know [Alice] EmptyMer 11 Nov - 19:07

Il avait l'air perdu dans ses pensées, et j'aurais tout donné pour savoir de quel genre elles étaient. Mais c'était tout simplement impossible. Je penchais la tête pour le regarder de plus prêt, détaillant son visage avec précaution, me perdant dans les traits magnifique de chacune des parties qui ornaient la tête ce cet homme si délicieux. Toujours les mains tendues avec son lecteur dont je n'y prêtais plus aucune intention, je remarquais la forme parfaite de sa bouche, ses lèvres charnues et parfaitement dessinées, la forme arquée de ses sourcils, la ligne droite de l'arrête de son nez, le contour de sa machoire....rien ne m'échappait. Je ne sais pas s'il remarquait que je le dévisageais, je ne sais même pas s'il m'avait entendu ou senti venir mais moi en tout cas, je n'aurais echangé ma place pour rien au monde. J'avais oublié combien il était fascinant d'admirer un homme que l'on désirait.

C'est alors qu'il ouvra les yeux, et j'eus juste le temps de reculer légèrement pour ne pas trahir mes gestes d'auparavant. Je lui souriait rapportant mon attention sur son lecteur que je lui tendis de plus belle. Il posa sa main sur mon poignet et je fus comme traversé par une courant électrique de la tête au pied. Mes yeux se fixèrent sur sa main qui parcourait la mienne en douceur, et la chaleur que je ressentis, qui n'était qu'autre que la sienne mélangées à la mienne me cloua sur place. Je vis ses lèvres s'approcher de ma paume, et instinctivement je bloquais ma respiration. Mes yeux se fermèrent légèrement et le contact de sa bouche me fit frémir comme si j'étais parcourus par des milliers de fourmis sur tout le corps. Je n'arrivais plus à bouger, je n'arrivais même plus à détacher mon regard de ma main et au moment ou il se redressa, je resta immobile sans aucune réaction.

Il me remercia d'une voix au timbre tellement sensuel et désireux que je sentis le désir me mionter à la tête. Inspirant profondément je luttais de toute mes forces pour ne pas lui sauter au cou et lui arrachais un baiser qu'il se serait souvenu toute sa vie. Me forçant à répondre, sans le regarder, je soufflais difficilement:

- de rien..................

Relevant la tête j'entrai en contact direct avec son regard intense dont je ne pu me détacher. Le fixant de la même intensité, je restais là à le regarder et à me perdre dans la profondeur de ses yeux. Mais il se mit à inspirer puis à tourner le dos et partir. Je clignai des yeux, pour revenir à la réalité et me retrouva seule dans le couloir. Je ne savais plus quoi penser, je ne savais plus quoi faire, je ne savais même plus ce que je faisais là à regarder un mur gris sans la moindre importance. Je tournais la tête vers l'extrémité du couloir et le vis marcher vers la salle de sutures. Croisant les bras sur ma poitrine, je me mis à avancer lentement vers cet endroit afin de poursuivre et de terminer cette journée en attendant le soir, qui viendrait plus vite que je ne le pensais.
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